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Vipere Au Poing

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Par   •  4 Mars 2014  •  882 Mots (4 Pages)  •  1 169 Vues

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Résumé de Vipère au poing

Roman écrit par Hervé Bazin, paru en 1948.

Le mensonge a une voix & tu es a pris l'accent.En 1922, Jean Rézeau, dont le surnom gamin est "Brasse-Bouillon", découvre une vipère et l'étouffe de ses mains.

25 ans plus tard, il raconte sa vie : sa famille et la propriété dans laquelle il a vécu "La Belle Angerie".

Chez sa grand-mère paternelle, son frère aîné, Ferdinand, et lui, ont passé, parmi des domestiques dévoués, quelques années d'enfance heureuses, tandis que leurs parents et leur plus jeune frère séjournaient en Chine.

Son père enseignait le droit international dans une université chinoise.

Lorsque Jean a huit ans, sa grand-mère meurt d'une maladie des reins. Les parents doivent rentrer de Chine. Les deux frères ont hâte de revoir leurs parents et de découvrir ce petit frère, Marcel, qu'ils ne connaissent pas .

Les enfants rentrent à la Belle Angerie. Aussitôt ils donnent à l'abbé Traquet, leur nouveau précepteur, le surnom de BVII. Celui-ci commence par fouetter Frédie, en raison des provisions trouvées dans sa chambre. Mais Brasse-Bouillon ne reste pas inactif : en cachette il réconforte son frère aîné. Ensuite il jette le trouble chez Folcoche (surnom de sa mère) en lui laissant croire que le précepteur a vraiment été très clément avec le fautif. Puis, il murmure au précepteur que sa mère le prend pour un simple domestique. Enfin, il obtient de son père que Frédie bénéficie d'une amnistie.

Jean est devenu le principal souffre douleur de Folcoche. Elle multiplie les humiliations et lui, les représailles. C'est la "guerre civile". A l'actif de Folcoche : les soupes épouvantablement salées, les habits de son fils qu'elle déchire et qu'elle accuse ensuite de négligence. Brasse-Bouillon n'est pas en reste : il déchire la collection de timbres de Folcoche, arrose ses fleurs avec de l'eau de Javel. Pour faire payer à leur mère sa piété perfide , les frères se défoulent dans les églises : ils jettent les missels dans les bénitiers, détraquent les horloges, couvrent les murs de graffitis...

Puis c'est la guerre "alimentaire" . Folcoche leur donne à manger des aliments avariés et accuse ses enfants d'avoir voulu empoisonner les chevaux. Cette accusation donne des idées aux enfants. Ils versent 100 gouttes de belladone dans le café de leur mère pour l'empoisonner. Mais celle-ci, qui a souvent utilisé ce médicament durant sa maladie, n'aura qu'une "simple" colique. Les enfants ne désarment pas, si l'empoisonnement a échoué, alors ce sera la noyade. Folcoche en réchappe miraculeusement.

Folcoche, qui comprend qu'elle a échappé par deux fois à la mort, décide de se venger. Elle demande à l'abbé Traquet de fouetter Brasse-Bouillon, qu'elle soupçonne d'être le meneur. Il se barricade dans sa chambre et s'enfuit la nuit venue.

Il parvient à se rendre à Paris chez ses grands-parents maternels, les Pluvignec. Il est impressionné par ce sénateur, sa fortune mais est incommodé par sa vanité. M. Pluvignec,

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