Table ronde sur Antigone

Table ronde sur Antigone

1. Cette lignée est maudite par « la malédiction d’Apollon » qui a été lancé par Pélops père de Chrysippe.

→ Ce dernier avait demandé à Laïos de montrer à son fils comment conduire un char mais, Laïos tomba amoureux de ce fils et l’enlevant pour en faire son amant. N’étant pas content de cette situation, il lança la malédiction sur Laïos son fils le tuera et couchera sa femme. Afin de défier cette malédiction, il abandonne son fils ce qui engendre une la colère des dieux – il ne peut pas défier les dieux.

 → Commençant par Œdipe qui tua son père (Laïos) et coucha avec sa mère (qui se pendit lorsqu’elle apprit cela). Œdipe eu à son tour des enfants; Ismène, Polynice, Étéocle et  Antigone. Il voulut que ses deux fils se partagent le pouvoir du royaume mais ceux-ci n’était pas d’accord.

→ Étéocle chassa Polynice de Thèbes, les deux tentèrent, chacun de son côté, d’assassiner leur père.

→ Polynice réussit le premier à tuer son père et les deux frères s’entre-tuèrent. « Et dès qu’il a été chez les Argyens, la chasse à l’homme a commencé contre ton père, contre ce vieil homme qui ne se décidait pas à mourir, à lâcher son royaume. »(p.88)

 →Antigone voulu enterrer Polynice malgré l’interdiction du roi (son oncle) elle fut donc condamnée à mourir et elle se pendit.         

1. Antigone porte en elle l’orgueil de son père Œdipe. Elle démontre ses motivations par une force de caractère et des idées précises. Lorsqu’elle à une idée en tête elle la défend obstinément puisqu’elle le fait pour des raisons morales bien à elle. Au début de la pièce, la confiance dont elle fait preuve est plus grande que tout ce que son oncle peut lui raconter afin de la faire changer d’idée. Elle démontre une force de caractère  et travaille en fonction de ses idées et de ses sentiments. Elle désapprouve l’image que son oncle donne de la femme. La loi pour elle ne représente rien en particulier. La famille est sa valeur première et elle considère que cette valeur est plus importante que la loi, de là sa décision d’enterrer son frère malgré l’interdiction du roi. Plus la pièce avance plus nous réalisons qu’elle perd un peu de confiance en son geste. Lorsqu’elle entend ce que son oncle lui raconte sur ses frères, son idée vis-à-vis de la situation change un peu. Mais on s’aperçoit tout de même que son désir de mourir est plus fort que le reste. « C’est elle qui voulait mourir. Aucun de nous n’était assez fort pour la décider à vivre.»(p.100)
2. La position d’Ismène symbolise la peur mais aussi la réflexion. Elle a peur de mourir par conséquent elle ne veut pas prendre position avec sa sœur dans une situation qui mettrait sa vie en danger. Elle est dans un sens d’accord avec la décision de sa sœur parce qu’elle considère injuste que son frère ne soit pas enterrer mais d’un autre côté elle comprend la décision réfléchit de son oncle. « D’abord c’est horrible, bien sûr, et j’ai pitié moi aussi de mon frère, mais je comprends un peu notre oncle. »(p.24) Son changement d’opinion démontre par contre qu’elle tient à sa famille et que, pour elle, il est important de soutenir ceux qui sont importants pour nous. Aujourd’hui on  interpréterait cela comme un geste de lâcheté. Alors qu’elle n’est pas en accord avec la situation, elle change d’avis lorsqu’Antigone a déjà fait le travail; on peut comparer cela aux gens qui s’impliquent et se présentent afin de faire une différence et ceux qui ne font rien et prennent le mérite par la suite. Elle soutient mais s’assurent de ne pas se mettre dans une mauvaise position.

1. Premièrement, plusieurs anachronismes sont présents dans le texte mais je vais en citer que deux.

→Le premier étant « Ils [les gardes] continuent à jouer aux cartes… » (p.123) Il s’agit d’un anachronisme car à cette époque les cartes n’existaient pas. Cet anachronisme nous permet de nous faire plus facilement une image de comment ceux-ci se sentaient par rapport à la situation; lorsqu’on exprime que les gens ne portent pas attention ou bien qu’ils sont plus ou moins intéressés par rapport au sujet on les présente faisant une action sur laquelle ils sont bien concentrés et ils n’en démordent pas.

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