Questions de corpus « Démontrer, Convaincre, persuader »

Questions de corpus « Démontrer, Convaincre, persuader »

1. Les trois auteurs s'opposent dans chacun de leur texte à la peine de mort en la qualifiant de mauvaise et néfaste Ils défendent la même thèse en ayant la même opinion. Dans son texte, « De l'Esprit des Lois » Montesquieu parle de la désertion « on établit la peine de mort contre les deserteurs, et la désertion n'est pas diminué » (l°13) cette peine est inneficace voir inutile ce qui prouve encore une fois le côté barbare de la peine de mort. Victor Hugo, parle et démontre bien que la peine de mort est mauvaise «  une lutte affreuse » (l°6) «cette réprobation publique qui devrait se borner à condamner la peine de mort » (l°10-11). En effet, l'abbé Lemire, ne tolère pas la peine de mort, elle ne fait pas partie de ses principes car d'après lui,  «  la mort, crée pour l'individu qu'elle frappe l'irreparable » (l°4-5). On peut conclure qu'au XVIII et XIX ème siècle, de nombreux auteurs engagés se sont prononcé pour parler et dénoncer la peine de mort

1. Pour montrer leurs avis à leurs destinataires, les deux auteurs, Montesquieu et Victor Hugo, procèdent de différentes manières cependant pour rejoindre un but commun. Victor Hugo fais appel à l'imagination des lecteurs en leur montrant la situation d'un condamné à mort. Pour suciter la pitié il utilise le champ lexical de la mort, de la tristesse voir de la souffrance « une lutte affreuse » (l°6), « l'horreur » (l°8) , le condamné « pleurant, hurlant » (l°25). De plus il utilise aussi des figures de styles comme la répetition ou l'amplification (l°14-17). Tout ces procédés, notamment l'appel au sentiments, ne font qu'accentuer cette effet de pitié vis-à-vis du condamné à mort

Tandis que, Montesquieu utilise plutôt la raison que les sentiments contrairement à Victor Hugo, Montesquieu commence son texte par une sorte de classement des peines en affirmant qu'il préfère les peines plus légères qui selon lui sont plus efficaces que les peines cruelles. Ensuite il parle « des vols » qui sont punis par la roue (l°9) et de la desertion qui ne diminue pas (l°13). Pour défendre son idée Montesquieu utilise une argumntation claire, efficace et précise

Pour conclure, nous avons vu que les deux auteurs défendent la même thèse en utlisant des procédés différents. Victor Hugo utilise les sentiment, la raison et l'intellect. Pour en revenir au sujet Hugo essaie plutot de convaincre et Montesquieu de persuader

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