Primo Levi - biographie

PRIMO LEVI – ORAL

Biographie de Primo Levi

Né : 1919 à Turin

Mort : Suicide 1987 à l’âge de 68 ans

Primo Levi est un Italien Juif née dans une famille bourgeoise, mais avant tout un homme de la chimie. Il reçoit en 1941 un doctorat de la chimie.  

Février 1944 : a 24 and il est arrêté et envoyer dans le camp de concentration d’Auschwitz, il y restera jusqu’à la libération en 1945. Suite à cela in commencera à travailler dans une usine de peinture dont il en sera le directeur par la suite.

En 1947, «  Si c’est un homme » est publié mais n’est pas reconnu. Ce n’est que quelque année plus tard que ce livre sera reconnu et traduit dans plusieurs langues.

Il passera sa retraite à écrire ses mémoires. Et publiera de nombreux livres tel que : …

L’œuvre:

1ere parution en 1947 chez De Silva, le livre passe inaperçue

2nd réédition en 1958 chez Einaudi, pas il n’est toujours pas reconnue

3eme réédition en 1976, ce n’est qu’à partir de ce moment que Primo Levi devient une figure dans la vie littéraire italienne. Il est fréquemment interviewer étant témoin et écrivain à la fois

Primo Levi ne détient pas un style littéraire particulier et n’appartient à aucun mouvement. Comme il le dit dans le Préface : « Je suis conscient des défauts de structures de ce livre »

L’œuvre elle-même :

Le récit s’ouvre par l’arrestation de Primo Levi à l’âge de 24 ans, en 1943, il est interné dans un camp de détention, puis déportés à Auschwitz en Février 1944. A son arriver il subit une sélection qui lui fait échapper de peu à la mort et il est envoyé dans un camp de travail.

La vie au camp est décrite à travers 16 chapitres qui rapportent tous  à un évènement que l’auteur s’en souvient. Par exemple « Le voyage » ; l « Initiation » ; « KB », « Nos Nuits »

Sa vie aux camps commence par son initiation qui fut plus que dégradant, par la suite il est assimiler à son komando. Et le travail à commencer.

Les 15 premiers jours sont synonymes de la  faim mais aussi au travail qui le brise un peu plus chaque jour. Il ne se reconnu plus. Ces rêves qui lui ramener chez lui, le hante et le détruit.

Au bout de ces 15 jours il se blesse et y est envoyé à l’infirmerie (KB), il réalise la bas la réalité du camp concernant les invalides qui sont gazés et que la vie au sein de l’infirmerie ne tient qu’à un fil.

Guéri il retourne au travail mais affilier à un autre komando dans lequel il retrouve son ami Alberto. Ce dernier a parfois des moments d’humanité ce qui donne des raisons a Levi de garder espoir. Il dédie tout un chapitre au vol, au troc : à ses yeux une façon de survivre dans cette nouvelle réalité.

Levi passe un examen pour intégrer le komando de chimie, mais ne recevra la réponse des mois après. Il apprend les nouvelles de l’avancé des alliés Mais ces informations ne le touche pas car pour lui le monde extérieur n’existe de plus.

En aout 1944, des bombardements se font entendre et détruisent une partie du camp, profitant de la relâche de la sécurité des allemands, Levi arrive à envoyer des cartes postales a sa famille en Italie par l’intermédiaire de Lorenzo. Le seul homme qui aux yeux de Levi représente l’humanité lui redonne courage pour croire au monde extérieur.

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