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Phède de Racine

Commentaire de texte : Phède de Racine. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  14 Février 2022  •  Commentaire de texte  •  756 Mots (4 Pages)  •  230 Vues

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Dans cette extrais de Racine on peut ressentir de l’émotion. Phèdre fait des aveux a sa servante en plusieurs fois ce qui nous permet de pouvoir observer pas une mais plusieurs émotions. Tout d’abord nous verrons le récit de la lutte de Phèdre. Dans une seconde partie nous étudierons la violence de sa passion amoureuse. Et pour finir nous nous intéresserons à sons tragique aveu.

Premièrement on peut observer que Phèdre ne fait pas ces aveux en une seule fois.

Dans un premier temps, elle parle à sa confidente de sa lutte contre cette amour et des tourments que cela cause chez elle « tout m’afflige et me nuit et conspire à me nuire », « J’en aie trop prolongé la coupable durée » …. Oenone lui demande ensuite d’où vient son tourment, d’une façon d’on elle peut nous laisser interpréter qu’elle a déjà une idée « quel charme ou quel poison en a tari la source », « délivrez mon esprits de ce funeste doute »… . Phèdre finit par avouer ses sentiments qu’elle n’arrive pas à cacher « j’aime », « ce prince », elle se plein que cet amour lui a été imposé par Venus « Venus et ses fleurs redoutables.

On Observe que Phèdre raconte sont amour comme un combat grâce à plusieurs mot qui relèvent de ce champ lexicale tels que « crime », « ennemis », « persécuter »…. Elle s’en veut elle et le sort qu’on lui a jeté « contre moi-même enfin j’osais me révolter », « je l’évitait partout » (l’amour ou le sort). Elle en veut aussi à Hyppolite « mon superbe ennemi ».

Nous allons à présent étudier l’amour de Phèdre. Tout d’abord Phèdre nous décrit son amour comme un amour très direct, un coup de foudre « Athéna me montra mon superbe ennemi », « je le vis, je rougis ». nous pouvons remarquer que Racine met en avant la puissance des sentiments de Phèdre « Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler. Je sentis tout mon corps est transir et bruler ». On peut observer que les sort de Vénus sont très rapides et très efficace, mieux vaux ne pas se frotter à lui.

Ensuite on peut voir que Phèdre voit ce sort comme une malédiction : « mon mal ». Elle se sent rongé, brulée par cette malédiction « Je sentis … bruler » cette image renforce encore une fois la puissance de sa passion amoureuse. Elle souffre que l’amour quelle porte ne soit par réciproque « Ma blessure… a saigné » (son cœur). Grace a tout cela nous pouvons remarquer que racine ne nous décrit pas le sort comme provoquant de l’amour véritable mais comme une malédiction provoquant une passion forcée.

Cela pousse Phèdre à se lamenter, à prouver aux autres et à elle-même qu’elle n’est pas un monstre. Pour cela elle compare Hyppolyte a son père « mes yeux le retrouvaient dans les traits de son père »

Phèdre aillant provoquée la colère de Venus pour recevoir sa malédiction, elle fait tout pour calmer sa colère pour qu’elle retire sa malédiction. « En vain sur les hôtels ma main brûlait l’encens », « quand ma bouche implorait le nom de la déesse ». Elle va jusqu’à supplier la déesse, « ô haine de Venus ! ô fatale colère », « c’est Venus toute entière à sa proie attachée ».

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