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Mes seuls dieux

Dissertation : Mes seuls dieux. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  7 Décembre 2017  •  Dissertation  •  973 Mots (4 Pages)  •  513 Vues

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Dans la culture indienne, le divorce est un événement tabou. En effet non seulement, il est rare, mais les femmes étant divorcer sont souvent laissé à eu même. Dans le recueil de nouvelles, l’auteur exploite le thème du divorce dans la nouvelle BAHU. Quelles sont les causes de la rupture chez les mariés ? La narratrice à de multiples raisons de vouloir divorcer,mais deux  raisons ressortent particulièrement dans la nouvelle:  le manque de vie privée dans le mariage, et l’absence de pouvoir décisionnelle.

Tout d’abord, la rupture est causée par un manqué de vie privée dans le mariage. Dans la culture indienne, les femmes mariées vont vivre dans la famille du mari. Non seulement, la famille est omniprésente au domicile, elle participe à toutes les activités de couples. Après le mariage, les mois qui suivent fut dévoué à la rencontre de tous les membres de la belle famille, mais la narratrice elle n’avait qu’une envie être seul avec Siddarth. Comme l’auteur le révèle dans le commencement de la nouvelle : « J’avais (bêtement) imagine que mon mari et moi nous irions seuls tous les deux, mais la famille au grand complet décida qu’elle voulait nous accompagner. » (p.7) La narratrice laisse entendre avec le champ lexical utiliser son mécontentement de la situation. En plus, l’auteur ayant utilisé des adjectifs d’amplitudes au terme famille, il vient justifier le manqué de vie privé. Non seulement il y a des membres de la famille, elle est là au grand complet. L’auteur utilise une figure d’insistance pour faire valoir le message de la narratrice. Ce n’est pas tout, l’absence de temps pour sa propre famille, ses propres passions et ses propres amis dérange sincèrement la narratrice. Le temps manque, elle travaille en journée et doit satisfaire  tous les besoins de la belle famille quand elle y rentre, sans compter toutes les taches ménagères à exécuter. Comme si s’en était pas assez, durant c’est temps libre elle ne peut décider ce qu’elle fera. En effet, la prochaine citation mets de l’avant ce que la narratrice ressent : « Je ne pouvais pas obtenir conge de mes employeurs pour les mois en cours. » L’auteur utilise une métaphore pour accentuer les ressentis de la narratrice. Elle considère sa belle famille comme des employeurs ce qui révèle beaucoup sur le lien entretenu. Comme l’auteur le cite dans l’extrait, elle ne peut guère faire ce qu’il lui plaît, et ce pour quelque mois. En somme,le manque de vie privée dans le mariage est dû à la présence constante de la belle famille et à l’absence de temps pour les intérêts personnels de la narratrice.

En second lieu, l’absence de pouvoir de décision chez la mariée vient rajouter un lien fort avec la rupture. La narratrice est restreinte tout au long de la nouvelle au bien vouloir de la belle famille. Elle n’est pas libre d’aller où elle souhaite, de prendre du temps libre ou décider de son propre future.  D’ailleurs dans cette citation l’auteur complète cette idée : « Ils le nommaient Mohan. Ils planifiaient son avenir. Ils disaient au moins maintenant tu renonceras à ton précieux travail. ». Dans cette décision personnelle la belle famille ne laisse pas la chance à la narratrice de nommé son propre enfant, de planifiait sont future et même de décider sa situation de travail. La répétition du prénom personnelle « ils » fait voir qu’elle n’est pas prise en compte dans ces choix, qui touche étroitement sa vie personnelle. Cette répétition correspond à une anaphore. En second lieu, la narratrice reproche à son mariage de la projeté vers un futur qu’elle ne souhaite pas vivre. L’absence de pouvoir de décision chez la mariée vient rajouter un lien majeur avec la rupture. La narratrice est restreinte tout au long de la nouvelle au bien vouloir de la belle famille. Elle n’est pas libre d’aller où elle souhaite, de prendre du temps libre ou décider de son  futur.  D’ailleurs dans cette citation l’auteur complète cette idée : « Ils le nommaient Mohan. Ils planifiaient son avenir. Ils disaient au moins maintenant tu renonceras à ton précieux travail. ». Dans cette décision personnelle la belle famille ne laisse pas la chance à la narratrice de nommé son propre enfant, de planifiait son futur et même décider de sa situation de travail. La répétition du pronom personnel « ils » fait voir qu’elle n’est pas prise en compte dans ces choix, qui touche étroitement sa vie personnelle. Cette répétition correspond à une anaphore. Par la suite, les deux mariés voient les choses bien différemment. Leurs visions du mariage diffèrent ce qui mène à des disputes et des impasses. La narratrice imagine son conjoint parfait comme son compagnon, une personne avec qui elle partagerait ses rêves. Malheureusement, ça semble bien le contraire. Elle reproche à son mari de ne pas prêter attention à ses envies et ses ambitions. Ce qui la pousse à remettre leur mariage en question. L’auteur le prouve dans cette citation : « Que voulait-il? Pourquoi m’avait-il épousée? Si c’était pour avoir quelqu’un qui s’occupe de la cuisine et des parents tous les jours de sa vie, qui doive se conformer à tout ce que l’on attend traditionnellement d’une bonne belle-fille… » (p. 27) En utilisant des phrases interrogatives, il fait paraître les doutes et l’incompréhension de la mariée. Le manque de pouvoir décisionnel et l’ajout de la différence de perceptions sur le mariage la mènent à penser que le futur qu’elle attend n’est pas entre ses mains.

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