Mai, poème Guillaume Apollinaire

Mai de Guillaume Apollinaire 

Le titre de l’œuvre est «Mai». L'auteur est Guillaume Apollinaire.C'est un Poème. C'est un Poème publié en 1913 juste avant la première guerre mondiale

Guillaume Apollinaire est né le 25 Août 1880 à Rome et il est mort en France le 9 Novembre 1918 à Paris de la grippe espagnole.

Guillaume Apollinaire est le meilleur ami de Picasso.

Il écrit Alcools en  1913. Les plus célèbres poèmes de ce  recueil sont Sous le pont Mirabeau, Zone, La chanson du mal-aimé et bien évidemment Mai.

Mai, comme la plupart des poèmes,il évoque une rupture amoureuse.

Ce recueil appartient au mouvement artistique du surréalisme …..

Apollinaire rencontre pour la première fois Picasso dans un bar anglais à Paris. Durant toute sa vie, Picasso pensa et travailla autour de la figure de Guillaume Apollinaire.  

Ce poème décrit le printemps car il parle des «saules riverains» (vers 4) et des «vergers fleuris» (vers 5).

Ce poème est constitué de 3 quatrains et d'une strophe de 5 vers, la troisième. Les rimes sont embrassées (de schéma ABBA), mise à part la 3ème strophe où c'est en ABBBA.

Ce poème m'a plu car j'aime le printemps, c'est la saison des amours. Le poème parle de l'amour perdu qu'il y a entre le narrateur et sa bien-aimée. Guillaume Apollinaire compare le printemps avec sa bien-aimée.

Comme dans «la chanson du mal-aimée», Apollinaire évoque ici un amour impossible.

Dans la première strophe, l'auteur se croît sur une barque descendant le Rhin. À côté du Rhin il y a des saules, et de l'autre côté, il y a une montagne avec de belles femmes au sommet. Il y a sûrement sa bien-aimée dans le groupe des femmes car il écrit: «vous êtes si jolies». On remarque que l'adjectif «joli» qualifie aussi le moi de «mai» (v. 1). Cependant le fait que la barque «s'éloigne» et que les saules «pleurent» introduit de l'inquiétude.

Dans la deuxième strophe, l'auteur continue d'avancer progressivement sur sa barque. Il voit défiler plusieurs «vergers fleuris » (v. 5) et «des cerisiers» (v.6). Les pétales des cerisiers lui font penser aux «ongles» et aux «paupières» de sa bien-aimée (v. 7 et 8). La métaphore associant les «pétales tombées» et «les pétales flétries» insistent sur le fait que cet amour est en train de mourir ou qu'il est déjà mort.

Dans la troisième strophe, l'auteur croise des animaux et c'est sûrement des animaux de cirque. Il continue de longer le fleuve. Il n'est plus question d'amour.

Durant toutes la poésie l'auteur parle de sa bien-aimée qui l'a probablement quitté. L'auteur fait aussi référence au printemps qui part pendant qu'il continue de longer le Rhin.

Quatrième strophe. Le paysage garde des traces de cet amour comme par exemple «sur le bord les osiers» (v.16).

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Le surréalisme est un mouvement littéraire, culturel et artistique du XXe siècle, comprenant l’ensemble des procédés de création et d’expression utilisant toutes les forces psychiques (automatisme, rêve, inconscient). En 1924, André Breton le définit dans le premier Manifeste du  surréalisme comme un «automatisme psychique pur, par lequel on se propose d'exprimer, soit verbalement, soit par écrit, soit de toute autre manière, le fonctionnement réel de la pensée. Le surréalisme repose sur la croyance à la réalité supérieure, à la toute-puissance du rêve, au jeu désintéressé de la pensée.

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