Lettre Persanes 101 Critiques

C’est un Persan voyageant en France qui raconte à Rhédi (son ami) que la mode en France est presque plus importante que la Politique voir plus.

Cela permet à Montesquieu de critiquer la France et les français facilement.

Tout d’abord ça commence par une hyperbole sur la mode (péjorative) qui nous apprends sur ce que vois les voyageurs étrangers. « L’inconstance prodigieuse »

Il parle de leur négligence pour tout ce qui est étranger surtout des insouciances : « Ce qui est étranger leur paraît toujours ridicule » L’antithèse entre les expressions « Bagatelles » et « Choses importantes » et la ressemblance entres celles de « Plus sages » et « Mieux vêtus » traduisent l’absurdité des Français. La déloyauté de la mode française va jusqu’au lois : « Ils veulent bien s’assujettir aux lois d’une nation rivale, pourvu que les perruquiers français décident en législateurs sur la forme des perruques étrangères ». La phrase « Avec ces nobles avantages » montre que la lettre est comique. Montesquieu (Le Persan), dénonce la légèreté et la hauteur des Parisiens, ils se jugent exclusivement sur leur apparence.

Ce qui inspire la critique politique dans cette lettre est le gouvernement en place à cette époque (La monarchie absolue). La question sans réponse attendue « Qui peut penser qu’un royaume, le plus ancien et le plus puissant de l’Europe, soit gouverné, depuis plus de dix siècles, par des lois qui ne sont pas faites pour lui ? » montre une critique de l’acharnement française, la concession « il est vrai que » qui nous informe sur le fait que les français ont fait aussi quelques lois tout seuls, exprime un jugement correctif et informé.

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