Les consignes de travail

> Les consignes de travail :

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> > Jugées par certains trop larges, elles ont cependant ouvert un champ des

> > possibles dans l’organisation, dont il a fallu s’emparer. Mais intérêt pour

> > l’exercice. Evocation de la posture de « neutralité » adoptée par l’un des

> > groupes (répondant d’après eux à la consigne donnée) et mise en évidence des

> > incidences sur les modalités d’expression du groupe qui s’est senti «

> > frustré » du manque de réciprocité dans les échanges.

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> > Le contact avec la promo CFPES :

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> > Le groupe évoque le sentiment d’avoir été accueilli par certains comme des «

> > bleus » car débutant la formation et d’avoir été parfois pris sur un mode

> > qui oscillait entre « bienveillance » et « paternalisme ». Sentiment que

> > certains membres du groupe CFPES se positionnaient trop dans un rapport «

> > dominant ». En même temps, le groupe reconnaît avoir eu une marge de

> > liberté, d’action pour proposer certaines orientations, mais qu’il a fallu

> > parfois conquérir.

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> > Découverte d’une forme d’homogénéité de la promo CFPES issue de la

> > prévention spécialisée par rapport à des secteurs plus diversifiés au CERPE,

> > avec pour effet peut être (ndlr) de renforcer un sentiment de « corporatisme

> > ». Impression pour certains de hiérarchie entre ES et EJE.

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> > L’expérience de l’animation de groupe :

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> > Sentiment de décalage entre les promotions dans la pratique des techniques

> > d’animation de groupe, les stagiaires CFPES ayant visiblement déjà

> > expérimenté à plusieurs reprises différents exercices proposés.

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> > Sentiment d’avoir également à gérer une certaine désinvolture dans la

> > préparation de l’animation des groupes « on va faire ça au feeling », qui

> > pose la question plus générale de la formalisation du cadre du travail

> > collectif. Parfois sentiment d’un manque de rigueur dans la mise au travail,

> > dans la mise en place

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