Les caractères de Labruyère

DE LA SOCIETE ET DE LA CONVERSATION

ch 5-1 un caractère bien fade est celui de n'en avoir aucun.

-portrait d'Acis, d'Arrias, de Theodeste, Euthyphron

IL ETUDIE LES RELATIONS HUMAINES ET L'USAGE DE LA PAROLE

-il dénonce le fait que les hommes ne s'écoutent pas et cherchent sans cesse a se dominer, la parole devient un outil de disputes, de moqueries et qui sert les intérêts personnels.

DES BIENS DE FORTUNE

-ch 6-32 si l'on partage la vie des partisans en 2 portions égales, la première vive et agissante est toute occupée a vouloir affliger le peuple,

et la seconde, voisine de la mort, a se déceler et a se ruiner les uns les autres.

-portrait de Crésus, de Chrysippe, Ergaste contre exemple = clitiphon

IL DENONCE L'EFFET PERVERTISSANT DES BIENS

-Il dénonce le fait que ce soit l'argent qui fasse fonctionner la société, et que l'argent a un effet néfaste sur la personnalité de l'homme. pour lui l'argent est a l'origine de la

décadence des hommes et de la société car c'est lui qui régit et menace l'équilibre

DE LA VILLE

ch 7-8 un homme de robe a la ville, et le même a la cour, ce sont deux hommes. Revenu chez soi, il reprend ses mœurs, sa taille et son visage

qu'il y avait laisse : il n'est plus ni si embarrassé, ni si honnête.

-voir fragment 1, portrait de Narcisse, Théramène

IL FAIT UNE SATIRE DE LA VILLE DE PARIS ET NOTAMMENT DES ''PARVENUS''.

-la ville est une comédie sociale ou se déroulent une comédie sociale. Les bourgeois imitent les gens de la cour en se mettant en scene. Chaque classe sociale s'y côtoie mais chacun veut en sortir.

Seul les apparences comptes car soumis au regard de l'autre. Paris est donc le théâtre qui montre le spectacle de la malveillance, de l'hypocrisie et de la tromperies.

DE LA COUR

ch 8-101 un esprit sain puise a la cours le gout de la solitude et de la retraite.

IL CONTINUE SA METAPHORE THEATRALE. IL MONTRE QUE LA COUR N'EST QUE FAUX SEMBLANTS, HYPOCRISIE ET MANGANCES

-il dénonce le règne des apparences, les courtisans sont fustiges pour leur orgueil et leur ambition démesurée. Il se moque de leur comportement et de leurs règles ridicules.

Leur désir incessant de reconnaissance et leur souci permanent de plaire font d'eux des pantins des plus puissants

DES GRANDS

ch 9-10 qui peut dire pourquoi quelques-uns ont le gros lot, ou quelques autres la faveur des grands

-voir

...