Le roman 1984 de George Orwell

George Orqell, célèbre écrivrain anglais, a su se démarquer du grand public à travers ses oeuvres littéraires encore aujourd'hui, importante dans la culture sociale. Dans 1984, roman d'après guerre publié en 1948, Orwell imagine ici un monde totalitaire dans lequel les idéologies ont surpassé les individus. Dans le texte qui suit, il sera question de montrer, d'après les pages 280 à 287 du roman 1984, que les techniques utilisées par le Parti de Big Brother le rendent omnipotent et infaillible aux yeux de la population. Ces méthodes sont alors imposés en créant une illusion de la réalité et en assurant une surveillance constante de ses membres.

En premier lieu, parmis les manières utilisées par Big Brother, qui le rendent aussi puissant et implacable au près du peuple, il y a l'illusion de la réalité. En effet, le contrôle du passé exerce une emprise totale sur les membres en mutant la vérité. C'est en détenant les outils nécessaires qu'ils y arrivent: <<Le Parti a le contrôle complet de tous les documents et de l'esprit de ses membres, il s'ensuit que le passé est ce que le Parti veut qu-il soit .>> (p.283) Le passé devient alors plastique et peut être changé à tout moment pour détenir la maitrise de ses citoyens. Les citoyens tolèrent les conditions présentes car ils n'ont pas de bon terme de comparaison, ils croient vivre dans des conditions meilleures que celles dans lesquelles vivaient leurs ancêtres et pensent que le niveau moyen du confort matériel s'élève constament. D'autre part, une autre processus trompeur sert à manipuler la société; la double pensée.C'est une façon efficace de '' pouvoir garder à l'esprit simultanément deux croyances contradictoires et de les accepter toutes deux."(p.284) Ce procédé consiste à détruire tout sens logique de la pensée d'un individu en lui imposant une gymnastique mentale entre deux certitudes. Le membre devient alors dérouté, et perd ainsi tout esprit critique. Bref, certaines pratiques employées, telle que la manipulation de la réalité, montre ainsi que le système au pouvoir détient l'emprise inévitable de la population.

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