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Le Rouge et le Noir, Stendhal

Commentaire de texte : Le Rouge et le Noir, Stendhal. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  26 Mars 2021  •  Commentaire de texte  •  1 601 Mots (7 Pages)  •  626 Vues

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Nassim Ennaji 1er3                                            Français : commentaire une petite ville                                                              

      L'extrait est tiré du roman "Rouge et noir" écrit par Stendhal en 1830. Standall (1783-1842) est un écrivain français qui peut être classé comme un courant réaliste du 19ème siècle. L'histoire de Rouge et du Noir s'est principalement déroulée dans deux lieux différents: Verrières (petite ville du Doubs) et Paris. Les lecteurs suivent la vie de Julien Sorel, le fils d'un charpentier provincial. Basé sur Napoléon Bonaparte, le rôle est ambitieux. Il rêve de gravir tous les niveaux de la société pour atteindre le sommet. Son ascension se poursuivra jusqu'à ce qu'il tombe dans une chute inévitable et même fatale. Le passage qui nous intéresse est le début du roman, et le titre du premier chapitre est "Une petite ville". Il s'agit d'une description économique et géographique de l'emplacement. Dans quelle mesure l'auteur a-t-il affiché une certaine vision sociale? 

Nous traiterons ce problème à travers deux axes. Tout d'abord, nous verrons comment Stendhal montre la beauté de la nature. La deuxième étape sera de savoir comment les activités économiques de cette époque ont détruit cet environnement calme.

     Stendhal a commencé sa description de Verrières à partir de l'emplacement sur la carte. Il a cité des noms précis, à commencer par le nom de la commune: «Verrières», puis «Franche-Comté», «Le Doubs», «le Jura», etc. Stendall a commencé à écrire un roman réaliste. Cela ressort encore de la précision de sa description des ouvriers: «Un petit morceau de fer devient rapidement un clou». 

Et cette description réaliste se veut, dans un premier temps, évocateur d’un certain apaisement.

Dans une ambiance pittoresque reposante

La ville se montre au lecteur d’abord de loin. L’échelle est grande.

On parle des « maisons blanches avec leurs toits pointus de tuiles rouges » comme si l’on se situait sur le dessus d’une colline et que l’on ne pouvait distinguer que le haut des bâtiments. Puis, toujours dans cette logique macro, Verrières est derrière une « haute montagne », d’où coule d’ailleurs un torrent qui rejoint « le Doubs ».

Néanmoins, au troisième paragraphe, on rentre dans la ville. Et celui-ci se termine, après avoir évoqué quelques « jeunes filles fraîches et jolies », sur un zoom à l’extrême : un personnage, un seul, « M. le maire ».

Le point de focalisation s’est donc réduit au fur et à mesure que le texte avançait, comme si le lecteur était le voyageur - mot que Stendhal utilise lui-même - qui s’apprêtait à passer les portes de la ville. Une ville qui, de si loin, semble apaisée. Les détails pittoresques créent une atmosphère paisible. Il y a des "châtaigniers" et des "touffes" et des "fortifications" "détruites". Les sommets sont "cassés" et parfois recouverts de "neige". On peut encore augmenter la liste de ces éléments graphiques, qui créent une atmosphère douce et paisible à travers la peinture. 

Le champ lexical utilisé fait encore sentir l’apaisement, la tranquillité, lorsqu’il est associé avec les hommes et les activités : « fort simple », « certain bien-être », « petite ville », « aisance générale ».

On peut également s'attarder, pour insister sur cette idée d’harmonie qui apporte le repos, sur le mouvement du milieu du deuxième paragraphe :

« Un torrent, qui se précipite de la montagne, traverse Verrières avant de se jeter dans le Doubs, et donne le mouvement à un grand nombre de scies à bois, c’est une industrie fort simple et qui procure un certain bien-être à la majeure partie des habitants plus paysans que bourgeois. »

Comme l'indique le rythme de la phrase, la ville semble coexister avec la nature et son orientation ultérieure. Premièrement, les lecteurs seront emportés par le torrent. Qui conduit personnellement la scie; soutient les agriculteurs. Ainsi, à Vérière, tout semble se dérouler selon un ordre naturel paisible. Cependant, le troisième paragraphe a marqué une percée, mais la percée a été annoncée à la fin du deuxième paragraphe. Ensuite, l'auteur a fait une discussion sur les activités économiques urbaines, qui sont en soi un élément destructeur de la nature. 

       

        Industrialisation ... Bien que le contenu ci-dessus semble être une question de paradis, Standall a détruit le paysage avec l'industrialisation de la campagne. Cela a commencé dans les forêts et les scieries, perturbant le paysage rural. Cependant, en ville, ces machines détruisent la beauté des êtres humains, et détruisent aussi la beauté des «jeunes belles filles» qui manient «d'énormes marteaux». Mais la machine détruit aussi le silence - l'état principal de la nature - comme indiqué au début du troisième paragraphe. Nous citerons deux domaines de vocabulaire caractéristiques à ce sujet: 

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