Le Rouge et le Noir, Madame Bovary, L'enfant corpus

Français

Question de corpus numéro un

    Ce corpus est constitué de trois extrait de textes issue de romans du 19ème siècle. Ces textes sont du genre littéraire réalisme. Ils portent sur une lecture qui permettent aux personnages principaux de s'évader pour faire face à la solitude et l'ennui. Dans ce corpus il y a Le Rouge et le Noir (1830), chapitre 4, de Stendhal, Madame Bovary (1857) de G.Flaubert, et L'enfant écrit par J. Vallès.

    Il s'agira ici de montré le rôle que joue la lecture pour les personnages principaux de ces trois textes.

    Dans ces extrait issus de romans, la lecture est un moyen pour les personnages principaux de faire face à la solitude et l'ennui, elle leur permet de s'évader et d'oublier la notion du temps qui passe. «Au lieu de surveiller attentivement l'action de tout le mécanisme, Julien lisait»(ligne 10 à 11, texte 1). «[…] peu propre aux travaux de force [...]» (ligne 12, texte 1). «Dans les intervalles de sa besogne» (ligne  12 à 13 texte 2), «me voilà seul» (ligne 10, texte 3), «je m'en aperçois tout d'un coup. Combien y a t-il de temps que je suis dans ce livre» ( ligne 24 à 23, texte 3).

    Dans les extrait1, 2 et 3 la lecture est instinctif pour les personnages. «[…] mais cette manie de lecture» (ligne 13, texte 1). «[…] quelque roman qu'elle avait toujours dans la poches de son tablier[...]» (ligne 10 à11, texte 2). « Dans une fente un livre: j'en vois le dos, je m’écorche les ongles à essayer de le retirer» (ligne 17 à 18, texte 3).

    Dans les texte 1 et 2 la lecture plonge les lecteurs dans une lecture intensif. Ils sont si absorbé par leur lecture que leur concentration est exclusivement accordé à la lecture. Le personnage du texte 1 ne prête pas attention aux signes et aux appels de son père. «L'attention que le jeune homme, donnait à son livre, bien plus que le bruit de la scie, l'empêcha d'entendre la terrible voix de son père» (ligne 15 à 17 texte 1). Le personnage du deuxième texte ne fait plus du confort une priorité. «J'ai le cou brisé, la nuque qui me fait mal, la poitrine creuse: je suis resté penché sur les chapitres sans lever la tête[...]» ( ligne 27 à 28 texte 3)

    Le personnage du troisième texte est isolé dans un monde d'imagination influencé par l'histoire qui mêle à la réalité. «[...] j'entends dans la cale de l'étude? Comment faire du feu? J'ai soif aussi» (ligne 38 à 39, texte 3). «Clic, clac! On farfouille dans la serrure. Est-ce Vendredi? Sont-ce des sauvages?» (ligne 41 à 42, texte 3).

    Pour les personnages des trois textes la lecture joue un rôle. Elle permet aux lecteurs de s’évader, et d'oublier le temps qui passe en partant dans un monde imaginaire. La lecture fait passer le temps plus vite, et les coupe de la réalité au quel ils sont confronté.

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