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La Condition Humaine

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Par   •  28 Avril 2014  •  710 Mots (3 Pages)  •  812 Vues

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TXT3 : La condition humaine

André Malraux (1901-1976)

Intro : André Malraux est un écrivain, aventurier, homme politique et intellectuel français. Il appartient au courant existentialiste (considère chaque personne comme un être unique qui est maître, non seulement de ses actes et de son destin, mais également, pour le meilleur comme pour le pire, des valeurs qu'il décide d'adopter.). En 1933, il fait paraître La Condition humaine. Ce roman historique, dont l’action se situe en 1927 dans la Chine de Tchang Kaï- Chek. Il obtient un très gros succès et se voit décerner le prix Goncourt. Le récit s’ouvre sur une scène dramatique: Tchen, un jeune communiste, est sur le point de tuer dans son sommeil un trafiquant. Dans un premier temps nous verrons que cet incipit est une scène pleine de suspens ou règne un climat d’inquiétude. Et dans un 2e temps nous verrons l’omniprésence du personnage et la façon dont on est plongé dans l’univers d’un terroriste.

I. Une scène pleine de suspens et de climat d’inquiétude.

• Le cadre spatio-temporel et l’organisation du récit :

a) Journal intime: l'heure- aspect symbolique: minuit heure du crime + La date: 21 mars 1927- 1er jour du printemps : renouveau/renaissance Période de la Révolution chinoise

b) Le lieu : nous est décrit que part des détails + effet d'élargissement de l’intérieur de la pièce vers l’extérieur : il y a un va et viens entre les deux. L’action se passe dans une chambre inquiétante : une fenêtre avec des barreaux (rappel prison) et le décor est centré sur le lit avec la moustiquaire. De plus, le silence à l’intérieur de la pièce opposé au vacarme de la ville. « Klaxon ».

c) L’entrée se fait « in medias res » : le lecteur est plongé au cœur de l’action déjà violente avec des verbes d’action tel que « brutal « et « frapperait » (l.1)

d) Le lecteur ignore aussi ce qui va se passer et pourquoi Tchen veux tuer cet homme qui à l’air innocent et qui est endormie. C’est un criminel et pourtant il ne tue pas.

e) De plus, le narrateur à eu obsession pour le pied :

f) Le décor est symbolique : on note l’opposition lumière à l’extérieur -> « la seule lumière » et l’obscurité à l’intérieur de la pièce -> «un corps moins visible qu’une ombre » «la nuit». On relève au passage l’antithèse « cette nuit n’était que clarté »

II. L’omniprésence du personnage : la plongé dans l’univers intérieur d’un terroriste, un monologue intérieur

• Arg1 : L’omniprésence du personnage dans les détails physique

Tchen -> asiatique

Apparence physique par les détails

On voit sa peur par ces organes : bras, estomac

• Arg2 : La retranscription d’un monologue intérieur : (univers mental de Tchen) :

a) Tchen-> p.p. et Narrateur (il prend du recul/à lui car 3e personne)

b) Description : états d’âmes,

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