Jean Jaurès

Jean JAURES était un homme politique socialiste et écrivain francais. Il prenait position en faveur du peuple, et écrivait beaucoup de discours et d’essais.  Dans son dernier discours, Jean JAURES dénonce la paix  et non à la nouvelle guerre. Dans ce texte, nous trouverons le bilan humain désastreux de la guerre des balkans, ainsi que des critiques politiques. Nous nous demandereons comment Jean JAURES rend-il saisissante la situation désespérée de l’Europe.  Nous verrons dans un premier temps, sa prise de parole dans le texte et dans un second plan, nous parlerons de la situation de l’Europe.

Premièrement, Jean Jaurès fait apparaitre une prise de parole dans son texte. Pour cela, il implique l’orateur en utilisant le pronom personnel « je »(l.5) afin de prendre partie et accentuer sa prise de parole. De plus, les verbes de sentiments « j’espère » (l.5) et  «  je veux espérer » (l.17) évoque les desirs, l’envie de l’auteur. Enfin, l’interjection et l’exlamation « Eh bien ! » ( l.4) que met en place Jean JAURES, souligne l’expression de ses sentiment dans le texte.                                                                                                (alinea) Ensuite, Jean JAURES s’adresse à l’auditoire. Le pronom personnel de la 2e pers du pluriel « vous »(.10) et l’apostrophe « Citoyens » (l.4+18)  accentuent l’adresse directe à l’assemblée.   Puis, le pronom personnel de la 1e pers du pl « Nous »(l.2) s’inclut dans une communauté. Pour finir, le verbe à l’infinitif « Songez »  (l.14) sollicite l’auditoire.

Deuxièmement, Jean JAURES fait part à la situation de l’Europe, comme le suggère son bilan humain désastreux de la guerre.  Tout d’abord l’hyperbole « une armée presque entière a succombé » (l.10) permet d’insister sur l’image de la mort. Puis le champ lexical de la guerre et la répétition composée des mots « armée » x2 « champ de bataille » x2 « guerre » fait référence à la guerre des Balkans .Ensuite, les données chifrées (recopier mots souligné) insistent sur le nombre de mort qu’amène la guerre et sont très abondant dans le texte. De plus, la conjonction de coordination et la comparaison « ce ne sera plus… mais » (14-15) met en regard les 2 guerres et des passements insiste sur le caractère meurtrier de la guerre qui se prépare. Enfin, l’emploi du présent de narration dans le 3e § rend l’évènement plus marquant et plus vivant .                                                               (alinea) Ensuite, Jean JAURES annonce un avenir sombre. La gradation « quel massacre, quelles ruines, quelle barbarie ! » (l.16) souligne les conséquences de la guerre. Puis, le champs lexical de l’horreur (voir mots osuligné dans le texte) évoque ce qu’amène la guerre. En outre, la comparaison et la personnification « l’Europe se débat comme dans un cauchemar » (l.23) appuie sur la situation délicate dans laquelle se trouve l’Europe. Pour finir, les métaphores filée de la météo (mots souligné) interpellent la situation terrible qui guette.

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