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Explication de texte de la légèreté d'Emmanuelle richard

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Par   •  13 Mars 2021  •  Commentaire de texte  •  950 Mots (4 Pages)  •  1 142 Vues

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La légèreté paru en 2014, est l’une des œuvres d’Emmanuelle Richard. C’est sur l’adolescence, le moment de la vie le plus hésitant et le plus éclatant à la fois, que s’est penchée Emmanuelle Richard dans "La Légèreté", son premier roman. Elle a quatorze ans et demi, elle n’a jamais embrassé de garçon sur la bouche. Dans ce roman, l’adolescente est en vacances sur l’île de Ré, avec ses parents qu’elle déteste. Elle espère pouvoir rencontrer un garçon pendant ses vacances. Dans le passage que nous allons analyser l’adolescente est arrivée sur son lieu de vacances et comme elle déteste ses parents elle passe beaucoup de temps à errer seule sur l’île.

LECTURE

Dans ce passage, on peut remarquer deux mouvements.

I) moment de stresse (ligne 1→ 15)

II) moment de remise en question (ligne 16 → 26)

I) moment de stresse (ligne 1→ 15)

• « au loin, sur la route » → le début de ce passage nous donne le cadre spatial de l’action.

• « il n’y a pas d’autres filles » → on comprend que l’adolescente est présente dans ce passage, et qu’il n’y a qu’elle, pas d’autres personnes du même sexe. Peut-être des garçons ? c’est la question que l’on peut se poser…

• « c’est bien elle qu’ils appellent » → à ce moment précis, on comprend que des personnes essaye de communiquer avec la fille.

• La fille, dans le passage est désigné avec le pronom « elle ».

• dans le passage, il y a un rythme grâce à sa marche. En effet, elle « ralentit », « poursuit », « marcher », « s’enfuit », « ralentit ».

• « l’odeur se fait plus insistante » → signifie que la fille comme les garçons se rapprochent. En effet, on nous le précise juste après « les deux silhouettes se rapprochent », à ce moment précis, on comprend que les garçons sont au nombre de « deux ».

• il n’y a plus de doute, « c’est bien elle qu’ils appellent qu’ils convoquent qu’ils regardent ». Le verbe « convoquent » renvoie un sentiment mauvais. Par exemple, quand on est convoqué chez le proviseur du lycée, c’est rarement pour être félicité. Donc, à ce moment précis, on peut imaginer que les garçons n’ont pas une bonne intention sur elle.

• c’est pour cela que l’adolescente « poursuit son chemin en priant ».

• l’adjectif « insoutenable » fait référence aux appels des garçons, au fait qu’ils se rapprochent d’elle « ils sont plus près ».

• on remarque le champs lexical de la vue « yeux » (ligne 7), « regarder » (ligne 8) « regard livide » (ligne 21). le champ lexical atteint son paroxysme juste avant quelle se posent des question « ses yeux brûlent ».

• les interrogations qui suivent « comment regarder un garçons en face ? » « et deux garçons en face » → elle ne sait pas faire, elle n’a jamais vécu ce genre de situation.

• Malgré le fait que les garçons l’appellent

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