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Cours D'énonciation à partir de l'étude d'une poésie

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Par   •  30 Mars 2013  •  2 569 Mots (11 Pages)  •  1 031 Vues

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Situation d’énonciation

Tu es si mignonne petite fleur de lotus hihihi

Références :

-Exophoriques (extérieures au texte- Référence déictique (situation d’énonciation, on se sait pas exactement de quoi il s’agit.

Référence absolue (exophore mémorielle)

-Endophorique (internes au texte) Anaphorique (on cherche dans le cotexte, ce qui entoure le texte ex ; Je veux aller au Pérou cet été, la, il fait bon vivre) Anaphorique car pour comprendre le « la », il faut regarder avant dans le texte.

Cataphorique : (le contraire, pour savoir la référence d’un mot, on chercher son sens sans la suite de la phrase.

Anaphore suspendue (pour lui c’est anaphorique, mais pour le lecteur il y a eu une suspension du référent. Elle fonctionne comme la cataphore : l’élément référentiel est indiqué par une expression dans le cotexte après. Mais il ne s’agit pas d’une annonce à proprement parler. La révélation du réfèrent n’est différée que pour le lecteur.

Etude de la page 22 à 27 :

Page 22 :

-« ici », situation déictique.

-« Les autres femmes »

-Fin de la page 22, changement de situation d’énonciation. Aude Cadoux .

-« Aujourd’hui », on ne peut pas savoir exactement quel jour on est. Donc référence déictique.

Page 23 :

-« Dès » qui se rapporte à « Camion »

Page 24 :

-« Au bord de la mer » Exophoriques, extérieurs au texte.

Page 26

-« Rouen » Exophorique,+ exophore mémorielle.

Benveniste

Tout énonciateur a le choix entre deus types d ‘énoncés :

Le discours Le récit

1) Temps verbaux

2) Pronoms personnels

3) Références

Spatiotemporelles.

Le discours se rapporte à la situation d’énonciation. : C’est le repérage déictique

Le récit se rapporte à la situation narrée. : C’est le repérage analytique.

« il » HYPOCORISTIQUE La troisième personne vaut pour une deuxième.

Repérage déictique en fonction de la situation d’énonciation

Correction P68

Selon Benveniste, la prise en compte des temps verbaux nous permet de repérer les deux plans d’énonciations distincts.

On peut voir une marque de discours avec : « C’est avec le chiens que tout a commencé. J’ai dis « avec » ; je n’ai pas dis « à cause de » ».

Pour l’imparfait, on ne peut pas vraiment trancher entre les deux.

Nous avons a faire à un narrateur qui intervient, il souligne en quelque sorte ce qu’il raconte, et en vue du titre, on comprend sa valeur.

Il commente ses propres mots Métadiscours

Il y a en quelque sorte une marque dans son intervention. Il veut que le lecteur fasse la différence entre « avec » et « à cause de ».

Première partie sur le récit :

Il permet d’éclairer la trame narrative. On comprend qu’il ne s’agit pas d’un titre métaphorique.

Le discours nous permet de voir la distance du narrateur. Il est capable de signaler l’importance du fait.

Ambivalence de l’imparfait ce qui permet de passer du récit au discours sans que ce soit violent.

Correction p 75 voir sur le livre

Il faut une sous partie d’introduction qui présente le sujet de « le soir du chien », c’est le moment ou on raconte un peut ce qu’il se passe.

A partir de la on annonce la problématique et le plan.

PAS DE PSYCHOLOGIE

C’est le topos de la première rencontre. On est dans une sorte de triangle amoureux entre le vétérinaire.

Comment les choix énonciatiques participes de la construction de cette scène.

(JE + PS)

JE NARRE

Pourquoi avoir choisi le récit au début et le discours ensuite ?

On est en lien avec la situation d’énonciation. Le passé composé permet de rendre la scène plus attrayante pour le lecteur. Alors qu’avec le passé simple, on a une distance psychologique différente.

La présence du passé simple celle en quelque sorte le récit puisque le passé simple est un temps limitatif il marque de début et la fin de l’action. `

L’imparfait, lui au contraire est un temps non-limitatif.

« JE » , il s’oppose au « moi ».

Discours VS récit

Dans le récit, les évènements semblent se raconter eux mêmes. `

Il existe une subjectivité non-déictique marques du Je y compris dans le récit.

Correction de la page 46-47

Deux temps : - D’abord du discours avec Laurent en énonciateur

- Ensuite, changement d’énonciateur avec la mère de Marlène

1) Le récit.

Selon Benveniste, c’est la passé simple qui permet de reconnaître le récit, et quand il s’accompagne de la troisième personne.

Occurrence = Passé simple, temps verbaux, il faut tout relever

- Marlène n’est pas l’élément important, mais c’est la grand mère

- « Un dimanche de Juillet » référence absolue mais ce n’est pas une date précise.

- Rouen référence absolue

- Près de son fils

- Plaque cossue satire sociale, quand on voit que la grand-mère n’a pas beaucoup pleuré.

- Passage qui joue avec les attentes du lecteur, c’est ce que génère le départ de Marlène. Il y a échec de son éducation pour la grand-mère. En satirisant ce milieu bourgeois, il y a l’idée implicite que Marlène est la cause de la mort de son grand père.

2) Le discours de la mère

Pourquoi il y a discours.

-Utilisation de la première personne + passé composé (J’ai pas osé)

-+ conditionnel passé impossible de revenir sur les faits passés

- + présent « elles se connaissent à peine. »

-L’imparfait renvoit à l’adolescence de sa mère.

- Le changement d’énonciation marque une rupture de langage on est en quelque sorte dans un monologue intérieur.

La subjectivité.

- expression d’un regret

- Elle pointe la responsabilité du coté du nouveau mari « Pour un homme jeune, trois filles d’un coup, c’était trop ».

- Idée de la responsabilité des parents. Accumulation de phrases averbales

- Métadiscours du « enfin », elle reprend ses propres paroles. 

Conclusion : Au départ, on est frappé par la distinction entre deux parties, mais elles se répondent entre deux contrastes, c’est une façon d’expliquer la spécificité de Marlène vis à vie de se milieu la.

Subjectivité non-déictique modalisation (à chercher dans la grammaire).

Tomassone P184 186

Modalisation opération par laquelle le locuteur introduit dans l’énoncé ses points de vus, son opinion sur ce qu’il dit et la façon dont il le dit. C’est donc une manifestation de la subjectivité dans l’énoncé.

Ca vient de modus, qui va s’opposer avec dictum.

Le modus « c’est la modalité de dire » Donc le regard que porte le locuteur sur son « dit ».

Le dictum c’est le « dit » c’est à dire les faits que le locuteur exprime.

On va distinguer les modalités d’énoncé et les modalités d’énonciation :

Les modalités d’énoncé :

On va pouvoir distinguer d’abord deux catégories :

- Logiques : - l’épistémique rapport au vrai. Lorsque la personne se pose une question sur est ce que c’est vrai, faux, douteux ?

- Aléthique chance ou risque de réalisation d’un procès (ce à quoi renvoi un verbe)

- Déontique ce qui est de l’ordre de l’obligation, du permis, de l’interdit, du type, « il faut ».

- Axiologiques : - Evaluatif élément qui vont permettre de refléter les valeurs sociales « c’est un grand appartement » Paris ou province ? Pas la même taille.

- Affectif Le joli, dimension plus personnel de l’appréciation.

Les modalités d’énonciation : Les différents types de phrases.

Travail sur la page 75 :

« Je ne peux pas faire autrement » déontique

« Je crois que pour lui aussi ce fut une rencontre Déontique

« Elle était très belle, plus belle que quatre ans plus tôt » Evaluatif

« Quand je l’avais trouvé moi, plus belle chaque seconde » affectif

« avec ses mains larges d’homme fort » affectif

« J’essaie d’imaginer : les battements du cœur, soudain, plus vifs, sourd, presque douloureux » Il essaie de traduire la réaction du veto. Logique et axiologique.

P78- 79

Mouvement au passé composé discours

Partie en récit moment clé

Le récit va mettre de la distance

Comment les choix énonciatif servent ce moment clé de l’histoire.

Premier paragraphe, on a des élément factuels, mais toutes une partie qui est racontée par l’énonciateur absent

« Je crois que Marlène » logique épistémique

« il a du sentir le danger » Logique aléthique

PS vs IMPARFAIT

Aspect temps limitatif temps non-limitatif.

Non-sécant Sécant

Il voyagea toute sa vie Ps mais temps limitatif.

Il voyageait Non-limitatif

PS temps du premier plan

IMPARFAIT temps de l’arrière plan. Descriptif ou explicatif.

IMPERFECTIF CONTRE PERFECTIF

Chercher Présent ou imparfait d’habitude. Trouver

Enonciateur narrateur non omniscient

« Sous l’œil réprobateur » axiologique évaluatif.

Dramatisation autour du passage au présent.

Les modalités de phrase : Les types

-assertion

-affirmation/ négation

-Interrogation

-Ordre (modalité jussive)

-exclamation.

Texte qui était globalement à l’affirmatif. Puis cette négation va donner plus de poids sur cette impression de commentaire.

On dit de la négation qu’elle est bitensive avec le discordantiel et de forclusif

Le « rien » se renverse en pronom « tout » qui montre cette radicalité et le ressenti de l’énonciateur narrateur.

On retombe ensuite dans l’imparfait.

Sindète pas de « et »

Polysindète plusieurs « et ».

Ce n’est pas un narrateur omniscient mais pour l’avoir ressenti lui, il sait ce que c’est.

Enonciation rapportée

Attention, le discours rapporté n’a pas la même valeur que le discours/récit.

-Discours direct : On a un fragment introducteur avec le notion d’incise. Il y a toujours un partie qui relève de la citation. Mots écrits sous une autre situation d’énonciation.

Ex : Le chien aboi. Le « chien » aboi. Autonymie, le mot renvoi à lui même.

-Discours indirect Une seule formulation homogène qui correspond au narrateur énonciateur. On a souvent affaire avec une complétive, une interrogative et des choses qui sont moins démasquables, des tours avec un infinitif ou bien plus abstrait : Il raconta ses malheurs.

-Discours indirect libre : Forme bivocale. Mélange de voies, celle de l’énonciateur et de l’énonciateur personnage.

Ex : Il était préoccupé ; réussirait-il a finir à temps ? On reste dans la troisième personne mais on a un point d’interrogation.

-Discours direct libre. Paroles rapportées du discours direct, pas de verbe de parole, sans guillemets.

Exemple dans notre passage :

- « Marlène a parlé de me prévenir pour que je puisse venir la chercher et payer la consultation. » discours indirect

- « Il a dit qu’il allait la reconduire, qu’il avait une bête près de chez nous. » Discours indirect.

- « Marlène n’a pas protesté ni posé de question ». Discours indirect.

- « Les gens disaient qu’il roulait comme un fou, » discours indirect

+ « un jour, il arriverait quelque chose ». Discours indirect libre.

Eude des pages 88 à 91 :

Plan proposé :

1) Enonciation de Laurent

- Discours

- Récit

- modalisation

2) Enonciation de la femme du vétérinaire.

- La femme parle à Laurent

-

On part du passé composé discours

« Elle s’était remise à fumer » changement, parole rapportée. Discours indirect Libre.

« Il faut dormir pour se battre » il prend la forme d’une citation. Le présent montre la généralité du propos.

« toujours on me raconte » retour narrateur. Discours @

redondance syntaxique construire, cod

Correction P60

Intro :

Présentation du livre + Benveniste.

On a deux énonciateurs qui se succèdent.

Il faut montrer ce qui fait écho, c’est à dire un éclairage différent.

Deuxième partie pour approfondir l’énonciation de Laurent.

- L’énonciation de Laurent se fait sur

1) Discours récit du narrateur

2) Enonciation rapportée.

Temps Passé simple, Récit. Première personne, on a un « je » objet de la narration comme pourrait l’être une troisième personne. Il faut montrer qu’il y en a sur tout le passage avant le changement de narration.

La deuxième partie avec la prise de parole est du discours, car elle devient narratrice.

NE PAS CONFONDRE L’ENONCIATION NARRATORIALE ET LES PAROLES RAPPORTÉES.

Dans le discours de la cousine, on a un discours qui rentre dans le présent d’énonciation.

Dans la partie du discours de la cousine, on peut voir que c’est du discours et qu’elle parle d’une généralité. Laurent lui, prend de la distance avec le récit et parle d’une instant T. Cette expérience a été, mais elle n’est plus.

c’est la Tonalité dysphorique : Par opposition a euphorique. C’est le préfixe qui dit un disfonctionnement par opposition.

Création d’une dimension épique passé simple. Forme de sensualité chaste, il n’y a pas d’inceste.

Burlesque sujet trivial qui est traité d’une manière noble.

3) Tonalité euphorique d’un temps révolu.

Topos du locus amoenus » temps agréable.

Marie Hélène Lafon écrit d’un lieu – dernière de couverture.

Ou on peut evoquer le coté marginal de Marlène.

...

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