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Corpus, La Fontaine, La Bruyèyère, Montesquieu

Cours : Corpus, La Fontaine, La Bruyèyère, Montesquieu. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  3 Avril 2019  •  Cours  •  632 Mots (3 Pages)  •  418 Vues

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Le corpus est composé de deux textes. Le premier est une poésie qui est tiré du livre VII, il a paru en 1678 et s’intitule la fille de Jean de la Fontaine. Le mouvement de cette oeuvre est le classicisme. Cette fable critique les femmes trop exigeantes et prétentieuses avec les hommes ce qui va se retourner contre elles.

Ensuite le second texte s’appelle les caractères de La Bruyère et date de 1688. C’est un recueil de « remarques » qui parle de la relation entre les hommes et la mode. Le mouvement littéraire est aussi le classicisme.

Enfin le dernier texte se nomme les lettres persanes et a été écrit par Montesquieu en 1721. Ce roman épistolaire dénonce les désirs des français par rapport à la mode. Le mouvement littéraire est les lumières.

Dans ces trois textes on parle du physique et du regard que les gens peuvent avoir sur nous et ce qu’on pense sur la façon dont on s’habille. Nous verrons d’abord les procédés satiriques, ensuite la critique physique et enfin la critique physiologique.

Dans les trois textes nous pouvons voir une critique physiologique d’une personne et dans tous les ouvrages nous parlons d’une personne exigeante. Nous pouvons le voir à la ligne 3 dans la fille : « un mari jeune, bien fait, et beau, d’agréable manière ». Dans ce poème c’est donc « certaines filles » qui sont exigeante avec leur futur mari.

Ensuite dans les caractères de La Bruyère à la ligne 1 : « Iphis voit à l’église un soulier d’une nouvelle mode, il regarde le sien, et en rougit, il ne se croit plus habillé ». Iphis est très exigeant avec lui et son style, il veut toujours être à la pointe de la mode. Enfin dans les lettres persanes de Montesquieu à la ligne 2 : « ils ont oublié comment ils étaient habillés cet été; ils ignorent encore plus comment ils le seront cet hiver ». Nous pouvons constater que les français sont très exigeant avec la mode et adorent changer régulièrement de style vestimentaire. La fille est le seul texte qui ne parle pas de la mode et du style vestimentaire.

Ensuite, nous pouvons voir que dans toutes les oeuvres on parle beaucoup du physique et cela parait très important. Dans les lettres persanes on parle « d’une quantité prodigieuse de mouches et elle disparaissaient toutes le lendemain » elle faisaient très attention à la beauté « les femmes avaient de la taille et des dents, aujourd’hui il n’en est pas question ». Dans les caractères, on parle de l’attention qu’il porte son apparence et du regard des gens « Iphis voit à l’église un soulier d’une nouvelle mode, il regarde le sien, et en rougit, il ne se croit plus habillé ».

Enfin dans la fille, la dame cherche l’homme parfait qui n’existe pas. Elle veut qu’il est toutes les qualités et surtout qu’il soit beau ! « prétendait trouver un mari jeune, bien fait, et beau, d’agréable manière ».

Dans ces trois oeuvres, les procédés satirique sont équivalent: ils caricaturent quelqu’un. Dans la fille « car les précieuses font dessus des dédaigneuses » et aussi de la société française mais dans quelque passages des lettres persanes il parle des femmes « leur hauteur immense mettait le visage d’une femme au milieu d’elle même » c’est la femme qui est caricaturée sauf dans les caractères où c’est un homme mais qui est très efféminée « il a une démarche molle

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