Conclusion de commentaire, Britannicus, Racine.
Commentaire de texte : Conclusion de commentaire, Britannicus, Racine.. Recherche parmi 298 000+ dissertationsPar azertyuiopz44 • 7 Novembre 2016 • Commentaire de texte • 363 Mots (2 Pages) • 3 899 Vues
Cette scène est donc caractéristique d’un « art de commencer » qui cherche à combiner information et vraisemblance, information et action. Le spectateur reçoit rapidement une information très dense qui lui permet d’imaginer la suite de l’action : il voit se dessiner les principaux affrontements en perspective (l’affrontement entre Néron et Britannicus, entre Néron et Agrippine), il peut faire des hypothèses sur l’issue de la tragédie. Bien sûr, cette technique de la « scène d’exposition » suppose une bonne part d’artifice mais la « situation de communication » imaginée par l’auteur rend vraisemblable cet apport d’information. En outre, le spectateur est directement plongé dans l’intrigue, il surprend en plein drame un des personnages principaux de la pièce. La scène est vivante. Cette scène est donc caractéristique d’un « art de commencer » qui cherche à combiner information et vraisemblance, information et action. Le spectateur reçoit rapidement une information très dense qui lui permet d’imaginer la suite de l’action : il voit se dessiner les principaux affrontements en perspective (l’affrontement entre Néron et Britannicus, entre Néron et Agrippine), il peut faire des hypothèses sur l’issue de la tragédie. Bien sûr, cette technique de la « scène d’exposition » suppose une bonne part d’artifice mais la « situation de communication » imaginée par l’auteur rend vraisemblable cet apport d’information. En outre, le spectateur est directement plongé dans l’intrigue, il surprend en plein drame un des personnages principaux de la pièce. La scène est vivante. Cette scène est donc caractéristique d’un « art de commencer » qui cherche à combiner information et vraisemblance, information et action. Le spectateur reçoit rapidement une information très dense qui lui permet d’imaginer la suite de l’action : il voit se dessiner les principaux affrontements en perspective (l’affrontement entre Néron et Britannicus, entre Néron et Agrippine), il peut faire des hypothèses sur l’issue de la tragédie. Bien sûr, cette technique de la « scène d’exposition » suppose une bonne part d’artifice mais la « situation de communication » imaginée par l’auteur rend vraisemblable cet apport d’information. En outre, le spectateur est directement plongé dans l’intrigue, il surprend en plein drame un des personnages principaux de la pièce. La scène est vivante.
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