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Introduction et conclusion de commentaire sur Réflexion sur la question juive de Sartre

Commentaire de texte : Introduction et conclusion de commentaire sur Réflexion sur la question juive de Sartre. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  18 Octobre 2017  •  Commentaire de texte  •  279 Mots (2 Pages)  •  1 846 Vues

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Le document étudié s’intitule "Réflexions sur la question Juive", essai philosophique de Jean-Paul Sartre, publié pour la première fois en 1946. Jean-Paul Sartre est un philosophe et écrivain engagé français, représentant du courant existentialiste, qui s’intéresse principalement aux thèmes de la conscience, de l'existence, du pour-soi (manière d'être de l'existant), de la responsabilité de l'être-en-situation, de l'angoisse, de l’appréhension de l’avenir par sa conscience, … Dans l’extrait auquel nous allons nous intéresser, Sartre s’interroge sur la pensée de l’Homme et plus précisément sur l‘imperméabilité dont il fait preuve. C’est l’un des extraits les plus importants de l'essai, dans lequel Sartre nous montre que les gens choisissent le faux du vrai par besoin de sécurité, ce qui peut provoquer un étonnement immense.

I)

Cette imperméabilité, cette nostalgie, cette ignorance de la vérité dont l’Homme fait preuve selon Sartre serait dû à une peur qui l’empare. En effet, à plusieurs reprises Sartre présente cette idée de peur qui entrainerait un certain manque d’effort de raisonnement.

II)

En conclusion, dans son œuvre, Sartre s’interroge sur le fait de choisir de raisonner faux. En effet, raisonner faux se révèle être le contraire du but même de la réflexion qui elle, a pour but d’éclaircir la vérité. L’auteur nous montre que tout le monde ne raisonne pas de la même façon. Il dresse deux catégories de personnes : l’Homme sensé et l’Homme imperméable. D’après Sartre, les hommes qui appartiennent à cette seconde catégorie pensent que les opinions sont innées et non pas quelque chose à acquérir ou encore quelque chose qui nécessite un effort. Il décrit l’Homme insensé comme appauvri mentalement, et passionné, dont il faut se méfier. Est-il réellement plus dangereux que la vérité elle-même ?

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