Commentaire composée de Bel ami

Quentin ARRIGHI                                                        2nd3

Dissertation Français

Sujet : « L’homme n’est pas seul , il vit dans une société, dans un milieu social , et dés lors, pour nous, romancier , ce milieu social modifie sans cesse les phénomène .Même , ,notre grande étude est là , dans le travail réciproque de la société sur l’individue et de l’individue sur la société »

Œuvres étudié :Bel ami de Maupassant

Guy de Maupassant est un auteur est un écrivain et journaliste français né le 5 août 1850 en Normand . Il est a écrit plusieurs œuvres comme Bel-Ami publié en 1885, Le Horla publié en 1887, Boule de suif publié en 1889. Bel-Ami est roman qui est inspirer par la société du monde dans celui-ci l’histoire se tourne sur un homme pauvre mais qui possède un physique attirant, c’est notamment grâce à celui-ci qui monte dans la haut société en utilisent tout les opportunités qui se propose à lui.

L’homme n’est pas seul, il vit dans une société, dans un milieu social, et dès lors, pour nous, romancier, ce milieu social modifie sans cesse les phénomènes. Même, notre grande étude est là, dans le travail réciproque de la société sur l’individu et de l’individu sur la société dans cette citation d’Émile Zola on peut comprendre qu’il se dit que l’homme évolue en même temp que la société et que les romanciers ont besoin de toujours s’améliorer.

Dans ce roman nous allons étudier comment le récit du roman Bel-Ami peut être mis en perspective des rapports entre l’homme et la société ?

Dans une première partie nous allons étudier l’évolution dans la société de George du Roy puis dans une seconde partie nous allons étudier une société contradictoire avec une nouvelle forme de pouvoir, la séduction.

Dans cette partie nous allons voir l’évolution de la société en étudiant le niveau social dans lequel évolue George du Roy aussi bien pour lui-même que pour son entourage puis les lieux significatifs qui marqueront des échanges importants dans son évolution. Au commencement de l’histoire, George du Roy se trouve à marcher dans une ruelle sombre de Paris, il est seul, pauvre. Il passe à côté de café où il aperçoit des clients manger leur repas. Il a un maigre salaire malgré son travail de bureaux de Chemins de Fer et ne peut s’offrir qu’un seul repas soit celui du matin soit celui du soir. Georges est clairement dans la misère : « Il réfléchit que les repas du matin étant de 22 sous, au lieu de 30 que coutaient ceux du soir, il lui resterait, … 1 franc et 20 centimes de boni. » Un jour, alors que George déambule dans les rues de Paris, il rencontre un ancien compagnon de régiment, frère d’armes, nommé Charles Forestier. Celui-ci est devenu rédacteur politique dans le journal « La vie française », Charles a une vie aisée : « il était marié et journaliste, dans une belle situation… il avait maintenant une allure, une tenue, un costume d’homme posé, sûr de lui, et un ventre d’homme qui dîne bien. » Forestier invite Georges à dîner chez lui pour qu’il rencontre le directeur de son journal et pour lui faire obtenir un poste plus honorable. A ce dîner, Georges fait la connaissance de nombreuses femmes cultivées, différentes de celles qu’il a l’habitude de côtoyer. Mme Walter, femme du directeur, tombe sous le charme de notre personnage. Son mari, homme riche et puissant propose de faire un essai pour un article sur le thème de l’Algérie pendant son service militaire : « C’était Mr Walter, député, financier, homme d’argent et d’affaires, juif et méridional, directeur de La Vie Française, et sa femme, née Basile-Ravalau, fille du banquier de ce nom ». A ce moment, on voit clairement l’évolution social de Georges qui débute sur de simples connaissances : de simple administratif qu’il est, il rencontre un journaliste aisé, une femme fille de banquier et épouse de directeur de journal. Non seulement Georges a évolué de par ses connaissances et leurs statuts sociaux mais il a évolué également par les lieux et espaces de rencontre.

Georges rencontre son frère d’armes, Mr Forestier, dans une ruelle, et à cette période, il habite dans un appartement insalubre. Il passe devant des cafés bondés de monde où il regarde avec envie les repas des clients : « Les grands cafés, plein de monde, débordant sur le trottoir, étalant leur public de buveurs sous la lumière éclatante et crue de leur devanture illuminée. » Il est ensuite invité à diner dans une résidence chez son ami aisé : « …dans une grande pièce bien éclairée… il sentit plié sous lui le velours élastique et doux du siège, quand il se sentit enfoncé… étreint par ce meuble caressant ». A la suite de ses aventures charnelles, Georges se voit offrir un appartement plus confortable avec une rente mensuelle de la part de son amante. Il côtoie des filles de rue qu’il retrouve aux Folies Bergère mais les ignore étant en compagnie d’amis de niveau social plus élevé. De part un mariage avec la veuve de son ami décédé Mr Forestier, il acquiert sa demeure. Tous ces lieux sont non seulement des étapes dans son évolution dans la société mais ces espaces ont aussi évolué de la rue sombre à la résidence bien éclairée.

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