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Religion des Toltèques, Aztèques et Mayas

Cours : Religion des Toltèques, Aztèques et Mayas. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  14 Janvier 2019  •  Cours  •  3 416 Mots (14 Pages)  •  515 Vues

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Les Mayas seigneurs de la jungle et maître du temps :

L'histoire des mayas s'étend sur plus de 4 000 ans et s'inscrit dans leurs vaste territoire qui comprend les États actuelles du Guatemala et du Belize, une partie du Honduras et du Salvador et les États du Sud du Mexique. Sur toutes ses terres les Mayas ont construit de nombreuses citées. Plus de 4 400 sites on été retrouver d'après une étude Américaine en 2005 ( pas de nouvelle liste complète à ce jour). Bien que cette civilisation fut brillante et est laissée beaucoup de trace, aucune réponse à ce jour n'est assez satisfaisante pour expliquer leur disparition.

Un appauvrissement des sols car beaucoup plus de cultures pour beaucoup plus d'habitants. Les cultivateurs n'ont pas d'autres choix que d'étendre leurs territoires agricoles ( parfois jusqu'à des 10 de kilomètres de leurs habitations) au détriment de la forêt. Cette déforestation massive entraîne une accentuation des sols, une déficience en nutriments, des glissements de terrains (condamnant les possibilité de production). La malnutrition, la famine et donc les maladies poussent les populations mayas à fuir les villes pour se replier sur de petites exploitations individuelles. Avec cette déforestation amplifié vient aussi un dérèglement climatique. Les mayas connaissaient de long périodes de pluie puis des longues périodes de sécheresse ce qui n'améliorait pas les cultures.

Un système politique archaïque n'a pas non plus améliorer la situation. Chez les Mayas, il y a pas de chef d’État mais un autorité fondé sur la “représentation”. Dans chaque ville règne le K'uhul Ajaw (divin seigneur). Un roi au caractère charismatique et chamanique, censé assurer le lien entre les humains et les puissances surnaturelles. Son autorité repose sur la mise en scène des attributs divins à travers cortèges, fêtes ou rituels. Ces extravagances contribuent aussi à la chute de la civilisation maya. Pour marquer sa domination sur ses voisins, le roi doit étaler toujours plus de richesses. Un coût exorbitant qui mène peu à peu les cités à la ruine. De plus des guerres intestines, montré par les ruines daté de 900 témoigne d'une militarisation et d'une violence extrêmes. Une manière pour le roi d'asseoir leur pouvoir et de se procurer des prisonniers à offrir en sacrifice aux dieux.

La religion était présente dans chaque cité. Les sciences, les arts, les architectures toujours plus haute était toujours liées à la religion. Le temps chez les mayas est régi par deux calendriers, l'un sacré, de 260 jours, l'autre, solaire , de 365 jours. Les deux fonctionnent en parallèle. Le temps est dit concentrique et non linéaire comme actuellement. La “roue du temps lie le passée, le présent et l'avenir, les vivants aux morts.

Le Tzolkin est le calendrier sacré de 260 jours. Il servait aux prêtes pour faire des prophéties annoncer les jours néfastes ou fastes ou encore trouver les noms des nouveaux née. Ce n'est qu'en vertu d'un savoir astronomique et d'un calcul du temps extraordinairement sophistiqué que prêtes et souverains peuvent conduire les rites qui assureront l'abondance des récoltes, le bien être des populations... Un culte est pratiqué centré sur les sacrifices de captifs ou sur les saignées royales : le souverain gravit les marches du temple et avec l'aide de prêtres ou de membres de sa famille, puis lacère son sexe et d'autres partie de son corps, puis laisse le sang couler sur un papier d'écorce qu'on brûle ensuite pour que lui apparaissent dans une transe enfumée, des images prophétiques. L'attribut distinctif de la royauté maya n'est pas le sceptre ou la couronne, comme en Europe, mais la lame d'obsidienne, tranchante comme un rasoir, avec laquelle le roi fait couler son sang.

Autre rite spécifique dont on trouve d'impressionnant vestiges à Chichén Itzà ( site le plus important des citées mayas ) au nord du Yucatán : le jeu de balle. Le match était plus cérémonie qu'un sport. Le jeu a lieu entre deux grand murs latéraux avec des tribunes au dessus et aux extrémités du terrain. Deux équipes l'une représentant les forces de l'inframonde ( symbolisée par des ja-guars), l'autre les lumières (sous la forme d'aigles), se lancent une balle de caoutchouc pouvant peser plus de 3 kilos en essayant de la faire passer dans des anneaux en hauteur scélés dans les murs. On ne peut toucher la balle avec les mains ou le pied. Les joueurs la lancent ou la reçoivent seulement avec les coudes, les genoux, et les hanches. Au terme du match qui peut durer plus d'une journée, le chef de l'équipe gagnante peut avoir la tête tranchée par le chef de l'équipe perdante ( autant perdre ) : pour les Mayas, c'est le suprême honneur, ce rite sanglant étant associé au culte de la fertilité. La têt est alors empalée dans le mur prévu à cet effet, juste à côté du stade.

A Chichén Itza se dresse le majestueux “château”. L'orientation est t'elle que la pyramide est telle qu'au moment précis des équinoxe de printemps et d'automne, le soleil frappe les arêtes de la pyramide d'une ombre qui fait croire que les grosses têtes de serpents au pied des escaliers se prolongent de leurs corps ondulants. C'est le serpent à plumes, dieu des réincarnations, appelé Kukulkan par les Mayas. Son culte aurait été introduit par les Toltèques, descendus du Mexique Central à la fin du Xe siècle qui eux l'appeler “Quetzalcóatl”.

Les sacrifice humains et le sang était nécessaires pour la survie des 200 dieux ( approximatif) et des humains. Les rites transportaient l'énergie vitale du sacrifier pour permettre aux dieux, le soleil, la lune, Vénus de revenir se lever le lendemain matin. En effet les Mayas comme les toltèques considéraient le cosmos était constituée de trois entités différents : le ciel, la terre et le monde inférieur. Le ciel était constitué de 13 strates, chacune possédant sa propre divinité. Le monde souterrains quand à lui 9 strates sur chacune d'elles régnaient un seigneurs de la nuit. Bien sur le monde souterrains est froid et inhospitalier auquel tous les Mayas était destiné après leur mort.Les rois quand à eux, considérait comme des dieux aller donc rejoindre les autres divinité dans le monde céleste. Chaque soir le soleil, la lune et vénus une fois avoir disparue à l’horizon descendaient dans le monde souterrain et avaient besoin de sang et d'énergie et de sang pour se lever et arriver à sortir de se monde souterrains. Des guerre pouvait être créer seulement pour

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