Rimbaud, les Cahiers de Douai

Emecipat°religieuse

    Emencipat° politique  

Critique inegalité sociale

le chatiment de tartufe « peuh ! Tartufe etait nu du haut jusques en bas » critique de la religion

« Il est un Dieu, qui rit aux nappes demassées » critique de la religion chretienne : le mal = dieu qui laisse faire la guerre

la rage des cesar « l’empereur est soul de ses vingt ans d’orgie »

le forgeron : « Oh ! Le peuple n’est plus une putain »

l’eclatante victoire de sarrebrück : « l’Empereur (…) s’en va, raide, sur son dada » critique de la propagande de la victoire de Napoleon trois a sarrebrûck qui n’est pas du tout importente = satire

 a la musique « les gros bureaux bouffis trainent leurs vielles dames » critique de la bourgeoisie

Les effarés : « à genoux, cinq petits, -misère !- » denonce la condition des enfants pauvre sous napoleon III = critique

Emencipat° par la fugue

Emencipat°

par la nature

Emencipat°par la sensualité

sensation : « et j’irai loin, bien loin, comme une bohemien »

« l’hiver nous irons dans un petit wagon rose »

sensation : « et j’irai loin, bien loin, comme une bohemien » «  par la nature , heureux comme avec une femme

roman : « les tilleuls sentent bon dans les soirs de juin ! »

Première soirée : « Elle était fort déshabillée »

soleil et chair : « ô venus, ô déesse ! » appelle a l’amour

roman : « on n’est pas serieux, quand on a dix-sept ans » « passe une demoiselle aux petits air charments »

Forme libre

Vocabulaire vulgaire

Source d’inspiration

«picoté par les blés »sens

au cabaret vert « du jambon rose »

le forgeron : « Oh ! Le peuple n’est plus une putain »

venus anadyomede : « belle hideusement d’un ulcère à l’anus »

roman : « on n’est pas serieux, quand on a dix-sept ans »