LaDissertation.com - Dissertations, fiches de lectures, exemples du BAC
Recherche

La courbe de philip

TD : La courbe de philip. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  5 Février 2021  •  TD  •  1 573 Mots (7 Pages)  •  425 Vues

Page 1 sur 7

Résumé :

Text1 :

D’après le tableau on constate que avant les années 1997 une relation positive relié les salaires et les prix ; ceci s’explique comme suit un faible chômage entraine une hausse des salaires nominaux , en réponse a la hausse des salaires , les entreprises augmente leur prix cette hausse des prix vas pousser les salariés a demander a nouveaux une augmentation des salaires ce qui pousse l’entreprise a augmenter encore une fois les prix, et ainsi de suite, avec résultat une inflation continue des prix et des salaires.

Début 1997 cette relation s’est casser c’est-à-dire que malgré la hausse des salaires les prix n’augmente plus ?

Pour expliqué cela Les études ont identifié trois facteur :

  • Les baisse des prix de matière premières, entrainant une baisse des couts non salariaux pour les entreprises
  • Une hausse de la valeur du dollar a induit a une diminution des prix d’importation .
  • Ainsi que le taux de croissance du cout du travail pour les entreprises qui est devenu plus faible que celui de la masse salarial.

Cette inflation salarial peut nous indiquer une estimation du taux de chômage structurel, c’est-à-dire quand l’inflation diminue on suppose que les chômage structurelle est supérieur a son niveaux.

 

Fiche N°05 :

Aux États-Unis dans les années 98 on constate que malgré la baisse du chômage, l’inflation diminue encore plus.

Ce dernier a poussé les économiste a faire la supposition de l’existence d’un nouveaux marché de travail dans le quel ou le chômage n’influe pas sur le taux d’inflation c’est ce qu’on appelle le taux de chômage structurelle ou le NAIRU.

Cette relation d’après le graphe 1 existe depuis toujours c’est-à-dire que la relation entre inflation et chômage n’a jamais été étroite.

Le triste retour de la vraie courbe de Phillip :

La courbe de Phillip dans les années 1861-57 reliais le chômage et les salaires avec une relation négative.

Cette dernière a été modifié juste après dans les années 60, en remplaçant  le salaires par le prix en supposant que pour faire baisser le chômage faut augmenter l’inflation, cette supposition devrait être refuser dans les années 70, sauf que la situation actuelle  lui a donné vie, car elle est présente aux États-Unis en Grèce ainsi que les pays d’Euro zone.

D’après Keynes les salaires diminuent quand le chômage augmente, c’est parce que les salariés ne demandent pas de hausses de salaires en raison de leur peur du chômage.

  Pour John Van et Paulo constate que cette baisse des salaires est accepté par les employées ainsi les cadres, parce que les allocation chômage ont été réduite et les exigences imposées aux chômeurs sont de plus en plus forte.  

Pour soutenir ces dernier il faudrait revenir a la dérégulation du marché du travail et restauré des mécanisme de négociation collective. Dans le cas contraire si on ne fait rien la situation va devenir comme aux 19eme siècle ou le travail était qu’une marchandise dont le prix fluctuait au rythme de l’activité économique, et que la courbe de Philips ne sera qu’une loi de l’offre et la demande appliqué aux travail.

3- la courbe de Philips :

dans les années 58 la courbe de Phillips relié négativement les salaires et l’inflation, c’est-à-dire quand le chômage augmente les salaires n’augmentais pas, Or quand les salaires augmente, l’entreprise rattrape ceci en augmentant les prix ce qui impacte sur l’inflation, c’est a partir d’ici que la courbe de Philip s’interprète beaucoup plus  comme une relation inverse de l’inflation et le chômage, cette dernière a engendrée d’autres débats sur l’idée d’arbitrage entre inflation et chômage c’est-à-dire une politique qui lutte contre le chômage va augmenter l’inflation, réciproquement, une politique de lutte contre l’inflation entrainerait du chômage.

Pour Friedman l’arbitrage entre inflation et chômage ne vas plus existait et que la courbe de Phillips va être vertical a long terme parce que celons lui chaque relance finassait toujours par  augmenter le taux d’inflation.

Contrairement aux héritiers de Keynes qui cherchait a rétablir cette arbitrage ,en définissant le taux de chômage qui n’accélère pas l’inflation (Nairu).

 

La courbe de Phillips est-elle bien morte :

On trouve des avis différents sur ce sujet, le premiers qui d’après eux la courbe de Phillips n’existe plus suit a l’absence  des anticipations ce qui a rendu l’inflation constante, le 2eme avis est celui de FMI et B.C qui d’après eux même si les anticipation sont plus ancrée qu’avant la courbe de Philip a garder sa relation négative entre l’inflation et le chômage et non pas entre chômage et variation d’inflation, elle s’est juste aplatie suit a la crise financière mondiale.

En dernier on trouve Stefan Laseen qui confirment que ni pente de courbe ni la relation de Phillips n’a changé, et que la seul chose qui a changer c’est plutôt la nature des chocs qui ont touché l’économie américaine, ces derniers se révélait déflationniste si bien qu’ils ont contribuer a maintenir l’inflation a un faible niveau .

QUESTION :

 

2-L’évolution de la courbe de Phillips : la courbe est définie comme suit : Y=a.Xb+c

La version des années 60 :

La relation était négative (convexe)donc une pente négative,  entre le taux de chômage et l’inflation et inflation anticipé, c’est a dire qu’une augmentation d’inflation anticipé conduit a une augmentation de l’inflation réalisé.

...

Télécharger au format  txt (9.8 Kb)   pdf (91.8 Kb)   docx (12 Kb)  
Voir 6 pages de plus »
Uniquement disponible sur LaDissertation.com