Synthèse sur les réseaux sociaux

Synthèse

Dans une époque où internet est présent tout au long de notre vie, les réseaux sociaux se sont

imposés comme un moyen de communication performant. Mais comme toutes technologies

nouvelles, les réseaux sociaux ont leur lot de bons et de mauvais côtés. Dans les différents supports

proposés à l'étude, on pourra faire part de points de vue divergents mais qui peuvent être

complémentaires. Les textes sont Comprendre Facebook : le rôle social du bavardage de Guillaud

Hubert et Mon « friend »est-il mon ami ? De Lehrm Sophie, une chanson intitulée Thanks for the

add ? De HK Alexis et une affiche de film The social network de Fincher David.

La question que l'on peut se poser est : Est-ce que les réseaux sociaux peuvent être bénéfiques pour

les liens sociaux ou bien les détruits-ils ?

Dans un premier temps on parlera des effets bénéfiques et dans un second temps les effets négatives

pour les individus.

Dans cette première partie, on parlera des effets bénéfiques des réseaux sociaux selon le

point de vue des auteurs. Pour Guillaud Hubert, les réseaux sociaux permettent de garder les liens

sociaux à travers le bavardage. Il rejoint l'idée de Lehrm Sophie sur le fait que les individus peuvent

se parler mais pas pour des échanges qui deviendrons réels. Mais leurs propos peuvent aussi

diverger car pour Guillaud, les bavardages ne sont qu'un outil de communication pour intégrer

d'autres personnes. Par exemple quand un individu poste un commentaire, d'autres personnes qui

sont pour la plupart inconnues, seront en mesure de répondre. Lehrm va plutôt aborder le sujet sur

la réciprocité des échanges. C'est à dire que les réseaux sociaux mettent en relation des individus

dont les discussions ne proviennent que d'un échange. Si l'un vend un ordinateur, un échange va

s'effectuer avec l'acheteur, mais que dans le cadre de la transaction. Elle appelle cela les liens

« faibles ». Ce sont des liens de courtes durées qui ne rapportent pas de discussions réelles.

A contrario HK Alexis et Fincher David vont parler surtout de l'aspect numérique. Les

réseaux sociaux permettent de mettre en lien des milliers, voir des millions d' « ami.e.s » selon

Fincher. Et HK Alexis montre plutôt la facilité qui peut être déconcertante d'avoir des « ami.e.s ».

De là, il démontre qu'il est très facile de choisir et d'avoir en un simple clic une panoplie d'individus

divers et variés. Ce lien qui peut être crée, peut dans certains cas permettent aux plus associable de

mieux s'intégrer au sein de la société.

Donc on peut voir sur cette partie que les bons côtés des réseaux sociaux sont surtout des

nouveaux liens sociaux, même faibles qui peuvent amener les individus à se sociabiliser. Mais

aussi, ils permettent des échanges marchands et non-marchands. Mais les réseaux sociaux non

comme toutes choses, pas que des bons côtés.

Dans cette seconde partie, les propos des auteurs montreront chacun des mauvais aspects des

réseaux sociaux. Deux d'entre eux, Guillaud et Lehrm vont mettre en évidence le problème de

l'homogénéisation des groupes mais pas de la même façon. L'homogénéisation c'est le fait que des

membres d'un groupe font partis de la même classe socioprofessionnelle, ils peuvent aussi avoir les

mêmes hobbies ou la même

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