Note structuréee, document de Claude Onesta

Note structurée

Document de Claude ONESTA 2018

Intro :

Après avoir montré que Claude ONESTA doit reformer le haut niveau français vous montrerez en quoi son projet est novateur.

Après des années de bataille pour l’obtention des Jeux dans notre territoire, nous avons enfin réussi les JO de 2024. Profitons de ces Jeux pour revoir l’organisation du sport de haut niveau qui commence à devenir obsolète à travers de nouvelle solution.

1. Montrer les lacunes (Page 6 à 23)

Notre système actuel possède des lacunes qu’il faut absolument rectifier. Notre modèle sportif hérité par une volonté politique du Général DE GAULLE suite à un échec des Jeux olympiques de Rome en 1960. Elle a permis à la France d’augmenté fortement le nombre de médaille gagné jusqu’à aujourd’hui. Malheureusement nous avons remarqué que ce système a atteint ses limites car depuis la fin des années 90 les résultats sont stables. Au niveau des jeux paralympiques la France ne fait que de se dégrader c’est pour ça qu’il est temps de rénové notre modèle sportif.

Les fédérations ont besoin d’intégrer des services d’individualisations dans leurs établissements pour éviter que les sportifs soient à avoir aller voir ailleurs pour s’entrainer.

L’état fait beaucoup d’effort pour apporter au jeune sportif des conditions favorables et propices en apportant des solutions efficaces avec des aménagement d’études, formation ou examens ou encore des places réservées à certains concours.                                                                                                

Malheureusement les sportifs de haut niveau sont à un moment donner obliger de choisir entre le sport et l’étude donc ils sont contraints d’arrêter leurs « double projet ». Il faudrait proposer de meilleure solution car l’après carrière est quelque-chose à ne pas à prendre à la légère.

L’accompagnement des sportifs que ce soit médical de la performance, de l’innovation technologique ou de la préparation mentale est à revoir chez pas mal de fédération. En effet la préparation mentale est très peu exploitée par les sportifs français sachant que ces préparations peuvent avoir beaucoup de bienfaits. Pour qu’un sportif puisse performer tous au long de sa carrière il faut qu’il ait derrière lui un suivi médical qu’il accompagne sauf qu’un bon nombre de fédération ne dispose pas des fonds nécessaires pour proposer ce service souvent. L’innovation technologique doit permettre d’améliorer les performances sauf que les innovateurs au lieu de s’entraider pour répondre au besoin préfère se voir comme des adversaires. Les fédérations à faible budget font l’impasse à l’innovation technologique.

 Les entraineurs ne sont peu considérés alors qu’ils sont des acteurs qui sont en grande partie de la réussite des sportifs. Les entraineurs ne possèdent pas les réels moyens pour travailler dans des conditions optimales, les entraineurs financièrement ne sont pas assez bien accompagné ce qu’il les oblige par fois de s’éloigner de certains projets sportifs et ils n’ont pas la reconnaissance qu’il mérite.

Il faudrait dissocier le rôle des DTN. Les fédérations devraient designer eux même un directeur de la performance pour qu’il coordonne la politique de performance.

Il faudrait prendre le sport paralympique bien plus au sérieux en prenant en compte les spécificités des pratiques. Pour améliorer ce domaine il faudrait revoir l’organisation. Les résultats des jeux paralympiques sont peu mis en avant. Certaines fédérations voient les sports paralympiques comme optionnel. Il faut revoir aussi l’identification et le recrutement des sportifs paralympiques. L’encadrement est souvent inapte avec comme par exemple des entraineurs qu’ils n’ont pas le temps d’encadrer pleinement les sportifs qui sont souvent bénévoles. Nous avons une faible connaissance de la culture du champ paralympiques, peu de savoir-faire et nous n’avons pas réellement de culture de la gagne. Les moyens dédiés au paralympiques sont beaucoup trop faible pour espérer voir une amélioration dans ce secteur. Le ratio investi par l’Etat entre l’olympisme et le paralympique est de 1/15 (46 millions/3 millions)  

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