Management : La logique entrepreneuriale

Première Partie : Entreprendre et diriger

Chapitre 1 : La logique entrepreneuriale

I. Qu’est ce qu’un entrepreneur ?

A. Les qualités et compétences de l’entrepreneur.

Une motivation pour arriver à son but, beaucoup de temps à consacrer. Qualités humaines (dialoguer, s’entourer et déléguer). Un risque sur le plan financer qui consiste à créer ou reprendre un entreprise et à avoir la capacité pour la développer. La démarche entrepreneuriale est souvent liée à l’innovation.

B. Le rôle et la fonction de l’entrepreneur.

L’entrepreneur à différentes définitions. D’après Say c’est un organisateur de la production pour accroitre et optimiser la production. Alors que Schumpeter, pour être entrepreneur il faut être capable d’innover, doté d’une capacité créative et preuve d’initiative.

Une innovation c’est l’application technologique de l’invention. Et l’invention c’est théorique concept. Pour Schumpeter l’entrepreneur est un homme clé dans l’économie. L’entrepreneur à la capacité à développer l’innovation, il peut s’agir soit d’un nouveau produit, une nouvelle méthode de production, une nouvelle matière première, nouveau débouché. Selon Schumpeter le rôle de l’entrepreneur et de révolutionner la routine de production en innovant, Schumpeter évoque une "destruction créatrice", d’un côté création d’emploi, d’un autre côté les entreprises disparaisse par l’innovation.

II. Les objectifs de l’entrepreneur.

A. La création d’entreprise.

La création pure, à partir de rien. Société immobilière, création vêtement. Ensuite la reprise d’une entreprise qui peut être en faillite ou autre.

L’essaimage est un soutien donné à in salarié pour créer son entreprise. Devient un partenaire pour son ancienne entreprise.

B. Le développement de l’entreprise.

Il y a plusieurs modes de développement.

L’autofinancement, financé soi-même avec ces propres fonds. Coût moins cher, indépendance. Mais limite le développement.

La franchise, un contrat entre un franchiseur et le franchisé. Le franchiseur fourni la formation, son image de marque et le franchisé reverse des royalties au franchiseur. L’intérêt pour le franchiseur est de pouvoir se développer avoir une notoriété.

III. La mise en œuvre d’un projet entrepreneurial.

A. Les étapes nécessaires.

1. Une idée de création.

Pour une idée de création, il faut étudier l’environnement des entreprises, aller voir d’autres magasins, être attentifs, écouter les informations.

Vida chams ses aider par son expériences, établir une étude de marché.

Pour la création, l’idée peut être connue, soit l’activité peut être fondée de nouvelle tendance, une opportunité (un événement), une innovation.

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