La Cuisine Des Desserts

Après avoir fait procéder à la collecte informatique des données par les élèves, une ébauche d'analyse a pu être amorcée en classe. Nous souhaitons ici livrer les principales connaissances retirées de cette enquête. Ce document est tout d'abord destiné aux infirmières, notre commanditaire, et peut, dans une perspective de politique de prévention de l’établissement, être un support de réflexion pour le CESC.

Il s'articule autour de trois thématiques :

Quel est le degré de connaissances des élèves de terminales en matière de contraception ?

Quelles sont leur sources d'information à ce sujet et de quoi sont ils demandeurs et par quel vecteur de communication ?

Leur pratique de la contraception est elle corrélée à leur degré de connaissances sur le sujet ?

I- Des connaissances satisfaisantes, pour tous !

De façon générale, nous observons une bonne connaissance des méthodes et utilisation de la contraception.

Lorsqu'on demande aux élèves de citer les moyens de contraception qu'ils connaissent, tous en citent au moins trois : pilule, préservatif masculin, stérilet. L'implant et le préservatif féminin sont également connus. En revanche, la stérilisation, les méthodes naturelles et autres ne sont citées que de façon marginale. Ces éléments de connaissances correspondent bien entendu à un modèle de contraception français, essentiellement basé sur une approche médicale.

A chaque question de connaissances, les réponses sont globalement exactes, mais environ 10% des élèves déclarent ignorer la réponse.

Notons également, et c'est ici une pr

...