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La Corrida

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Par   •  11 Mai 2014  •  523 Mots (3 Pages)  •  2 836 Vues

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La corrida

Le commencement de la course de taureaux est ouvert par le couloir, l'espèce de cour dans laquelle défileront devant le public tous ceux qui interviendront directement dans la course. Deux personnes ouvrent cette cour pour les cavaliers qui vont à cheval, et traversent la place pour se diriger vers la Présidence et pour lui demander symboliquement la clef de la "porte des torils" (où les taureaux se gardent). Derrière les trois toréadors vont, suivre respectivement les membres de leurs équipes, composées par trois banderilleros et deux picadors. En apparaissant à la fin de la cour les garçons et les mules de traînage (qui sont chargés, de retirer le taureau de la place lorsqu’il est mort). Quand la clef a été remise et que la cour s'est retirée, la porte de torils s’ouvre. Le taureau se rendra sur la place, et avec lui commence le combat. Le toréador nourrira à chaque instant un dialogue et une lutte avec l'animal, en essayant de le soumettre. La course de taureaux est divisée en trois parties dénommées des tiers qui sont marqués par un son de Clarin.

Dans le premier tiers le matador torrée avec la capote. Avec un son de Clarin on indique que les deux picadors viennent à l'arène, en se positionnant chacun à une extrémité de la place, mais un seul exécute le "sort".

Dans le deuxième tiers on exécute le "sort de banderilles", dans lequel les "subalternes", les banderilleros" ou des "toréadors en argent" comme voudrez les dénommer mettent au taureau trois paires de banderilles. Dans le dernier tiers le toréador exécutera le "sort suprême", dans lequel il toréera avec la béquille (muleta) au lieu d'avec la capote pour, à la fin, prendre l'épée et tuer le taureau. C’est le moment le plus difficile dans tout son travail, puisqu'il doit réussir à faire charger le taureau, et à le jouter au milieu de la charge, le toréador doit mettre le moment à profit pour clouer son épée ou estoc (glaïeul) dans le cœur de l'animal. C'est une question de secondes, et pendant celles-ci le toréador qui se retrouve seul doit se concentrer pour deviner juste un point très concret ou le taureau dans un mouvement se lancera vers sa béquille (muleta). Il est peut-être ici quand le matador expose plus ouvertement son corps devant le taureau. On considère toute cette lutte comme une œuvre d'art vivante et éphémère. Si le travail du toréador, ainsi qu’une mort donne une estocade réussie, et que le matador à transmis au public tout cette accumulation de sensations positives, le public récompense le toréador. Les trophées seront une ou deux oreilles du taureau combattu, et au maximum la queue. Le public demande au président les trophées en mouvant symboliquement les mouchoirs, et c’est le président de la place qui décidera dans une dernière instance, d’accéder ou non aux pétitions du public. Le plus grand honneur pour le toréador après un travail extraordinaire est d'aboutir de l'arène sur les épaules de la foule. Tous les incidents qui peuvent arriver lors d'une course de taureaux, ainsi que tous ceux qui entoure celle-ci, son réglé par le règlement de spectacles taurins.

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