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Je crois que depuis toute petite

Mémoire : Je crois que depuis toute petite. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  29 Mai 2016  •  Mémoire  •  360 Mots (2 Pages)  •  689 Vues

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Je crois que depuis toute petite j’ai toujours su que j’étais différente. Je voulais aider les autres et même si je n’y arrivais pas encore pske j’étais trop  petite. Le bonheur des autres m’importais plus que mon propres bonheur que ma propre vie.

Au fils des années ce désir d’aider l’autre à changer de forme et de signification, mais le but étais tj le même.

Je me souviens que petite je voulais tj faire la maman. Le sentiment d’être utile à une personne d’en avoir la responsabilité, même si le sens de ce mots est encore très vague et incorrect à cet âge. Dès que quelqu’un étais seul ou triste c’étaits plus fort que moi il fallait absolument que je comprenne pourquoi ca n’allait pas et comme le résoudre. J’aime assez cette phrase qui dit qu’il n’y a pas de problèmes mais que des solutions. C’est une manière d’appreander la vie qui me plait beaucoup.

Mais ce besoin vitale d’aider les autres m’en a souvent éloigné. Pendant quasiment toute ma scolarité obligatoire et encore aujourd’hui je suis mise à l’écart. On m’a souvent reproché de me mêlait de ce qui ne me regarde pas, d’être trop curieuse, alors qu’en fait je voulais juste les aider. Je comprends que qqun qui veut à tout prix aider les autres comme moi ca deviens vite chiant. Malheureusement c’est ma nature et je suis comme ca.

En primaire je me souviens m’être liée d’amitié avec deux filles à qui j’ai tout raconté je me suis souvent trop souvent peut être raccrocher à elles en espèrant qu’elles découvriraient un jour qui je suis vraiment et qu’elles m’appreciraient pour ce que j’était. Mais hélas ce ne fut pas le cas, elles ont même fait l’effect inverse. Elles étaient là quand je pouvais leur apporter qqch, elle se tournaient vers moi quand les autres les rejetaient et qu’elles étaient ttes seules. Moi je les acceuillais bien évidament les bras grands ouvert. Mais quand elle réussirent à reprendre leur places de meneuse quelques années plus tard elles me laissèrent tomber et c’est comme si je n’avais jamais exicsté. Leur indiférence est petit à petit devenue du harcèlement puis de la haine

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