Français sport

Pour commencer, nous pouvons voir que le domaine du sport présente différents aspects comme le social, la culture et la non-violence. Dans chaque sport des règles y sont établies. De ce fait, le sport est-il le reflet de la société ? Afin de répondre à cette problématique nous verrons dans un premier temps que les stades suivent des codes spécifiques et dans un deuxième temps que le sport est le reflet de la société.

En effet, le sport présente un usage social des relations particulier comme dans les fêtes, par exemple celle du carnaval. L’auteur Mathias ROUX évoque ceci dans l’essai Socrate en crampons. Selon lui, la venue au stade coïncide avec un usage social du temps autre que celui du travail, c’est un usage social assimilable au moment accordé par toute société à la fête. De plus l’extrait du film Invictus de Clint Eastwood présente les valeurs du sport. Ici, il s’agit du rugby, de l’équipe des Springboks. Et comme chaque équipe, celle-ci à un hymne et certaines valeurs. Celles qu’elle défend sont la persévérance, le dépassement de soi, l’endurance du mal, et aussi de montrer l’exemple. L’hymne quant à lui est fédérateur, il a pour but de rassembler et d’encourager l’équipe avant le début d’un match. De plus, il est vrai que chaque sport à plusieurs centaines de supporters. Mathias ROUX décrit le comportement propre des supporters dans son essai. Chaque supporter se mets aux couleurs de son équipe tout en adoptant des gestes et des paroles volontairement excessif et démonstratifs. Il révèle aussi l’étrange position du public, qui est à la fois acteur mais aussi spectateur du match et de lui-même, puisque chaque supporter vient pour voir et être vu, et aussi pour manifester, se manifester. Nous pouvons voir sur l’affiche de ce film que les supporters acclament Nelson Mandela et un des joueurs de l’équipe.

II. Le sport, le reflet de la société

1. Reflet de l’échelle sociale

Dans l’essai de Mathias ROUX, nous pouvons voir que les stades reflètent l’échelle sociale. En effet, les nouveaux stades sont désormais construits de manière à scinder le public en deux, les VIP ou les hauts revenus en bas des gradins et les catégories populaires en haut. Dans le texte d’Isabelle MONNIN, le reflet de la société est définit avec l’expérience de deux générations, celle de 1998 et celle de 2010. Le type d’éducation entre ces deux années est différent, l’un est avec un repère familial et l’autre sans.

2. Banalisation de la violence et la violence en elle-même

Dans l’essai de Mathias ROUX, la banalisation de certaines formes de violences dans les stades correspondent à celle à laquelle assiste la société civile en générale. Par exemple, dans le texte de Laurent Maurigner la violence qui est présente, s’agit de celle des supporters anglais dans le stade du Haysel. Certains supporters sont en sang, d’autres ont des couteaux ou bien les poings fermés.

Au bout du compte, on peut dire que le sport est le reflet de la société. Celui-ci comporte certaines valeurs et chaque personne à certaines valeurs sociales. A certains matches, il est possible que ça dégénère à cause d’une seule personne et en dehors du sport cela est possible aussi.

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