Fondements de la créativité Travail #1

Production individuelle par

Sylvie Tétrault

Travail remis à

Sylvain Rouillard

Le 9 février 2017

CRE1001 – 3 crédits

Fondements de la créativité

Hiver 2017, les jeudis de 19h à 22h

Campus de Montréal

Certificat en créativité et innovation

1. Qualités personnelles associées à la créativité

Garfield

Avoir la capacité d’évaluation de sa production, c’est attribuer de la valeur à ce que l’on fait selon ses propres critères, indépendamment de l’opinion des autres. C’est se fier d’abord et avant tout à notre propre jugement pour décider si quelque chose est bon ou non, réussi ou pas. C’est évaluer nous-mêmes les forces et les faiblesses de nos créations afin de décider si ces dernières sont valables.

La BD de Garfield est un bon exemple de cette caractéristique parce qu’on voit sur l’image que Jon sourit, il est donc très satisfait du résultat et juge que ce qu’il a produit est une bonne représentation de Garfield. Malgré le mécontentement apparent de Garfield, Jon se fait sa propre idée sur sa création artistique et considère avoir bien saisi l’essence de son compagnon dans son portrait.

Calvin et Hobbes

Avoir la capacité de jouer, c’est pouvoir approcher une situation ou un problème avec un regard libre de jugement et d’idées préconçues. C’est vouloir interagir avec son environnement ou jouer avec des idées sans nécessairement avoir de but, juste pour le plaisir. C’est mettre de côté notre cerveau rationnel et adopter une attitude ouverte et plutôt naïve qui favorise l’exploration. C’est voir les choses sous un nouvel oeil, comme si c’était la première fois, et les examiner sous différents angles. C’est se montrer curieux, essayer plein de trucs et faire des suggestions farfelues.

La BD de Calvin et Hobbes est un bon exemple de cette caractéristique, parce qu’on y voit Calvin approcher le jeu avec la neige et la fabrication de boules de neige d’une autre façon. Il laisse de côté la construction traditionnelle d’un fort ou d’un bonhomme de neige typique pour explorer une approche novatrice. Il y va littéralement d’une nouvelle perspective pour créer son oeuvre de neige, arrivant à un résultat amusant et insolite.

2. Un frein que je possède est la peur de me tromper, la peur de l’échec

C’est la crainte qu’une idée ne soit pas la bonne ou ne soit pas assez géniale, qu’elle tombe à plat, que le résultat soit ordinaire ou que ça ne fonctionne tout simplement pas. C’est douter et penser qu’on peut carrément tomber à côté de la plaque. C’est même parfois le sentiment que quelqu’un d’autre aurait su trouver mieux que nous. C’est croire qu’il faut à tout prix éviter les erreurs et les échecs, plutôt que les considérer comme faisant partie du processus créatif.

Les conséquences négatives sur ma créativité sont que…

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