Facebook dans la révolution arabe

C'est le choix de notre ligne éditoriale, nous ne voulons pas tomber dans les idée préconçu vis à vis de ces événements, le départ est facebook car c'est le seul lieu de liberté du peuple, mais ce n'est pas une révolution facebook, facebook à su coordonné des manifestations mais aussi de rassembler des milliers de personnes dans des pays ou la liberté d'expression n'a pas sa place .Donc tous ceux qui en avait marre de la dictature mais aussi a échanger des information tout en contournant les restrictions gouvenementale Nous prenons . En postant sur les réseaux sociaux leurs mécontentements les habitant de ces pays ont pris conscience que le temps des révolution intime et personnelles allait laisser place à un mouvement de foule sans précédent. c'est donc une révolution de rue qui à traduis ce ral le bol , c'est les agissement du peuple qui ont contrains ces tyran à lâcher les rênes de ces pays. La facilité est de dire c'est une révolution facebook, oui le tapage médiatique à ce sujet à jouer un rôle important, mais c'est un fantasme occidental de dire que c'est une révolution facebook

LES premiers votes sont des preuves qu'il y a des avancées, dans tous ces pays à eu lieu des votes rapidement après le départ des dirigeant en places, en egypte en tunisie en syrie ceux qui sont au pouvoirs sont légitime car c'est le fruit du combat du peuple et ils sont le choix du peuple mais ils doivent prendre des décisions pour le peuple par pour une religion ou une autre, adopter la charia serai se foutre du peuple, on veut vivre libre et égaux, vous avez parlé d'harlem shake, quand je vois des jeunes, des fils de l'internet comme je les appelle qui ne peuvent danser comme le monde entier cette danse je trouve ça ahurissant, et on ose appeler ça une démocratie, pour moi démocratie rime avec liberté en particulier la liberté d'expression, aujourd'hui meme sur facebook ont est controlé meme sous la dictature facebook était oublié mais aujourd'hui on pèse nos mots sur internet, comment peut on croire à ça dans une démocratie. Bon ayons confiance

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