Devoir 3 culture générale et expression

Culture générale et expression

DEVOIR 3

Sujet : dans le cadre du thème « Ce que manger veut dire », la face cachée des régimes "sans".

1. Analyse des documents et extraction des idées à retenir

1.1.

Le document 1 est un article informatif de Catherine Mallaval et Jacky Durand, publié en avril 2016 par le quotidien « Libération ». À l'occasion du salon des allergiques et autres intolérants qui se trouvent à Paris, les deux journalistes décide de recueillir l'avis de trois spécialistes sur les régimes « sans », donc axés sur l'exclusion d'une substance alimentaire.

Les régimes « sans », sont des régimes qui excluent un aliment ou une substance alimentaire : sans gluten, sans lactose, sans cuisson, etc. Ces nouveaux régimes son un phénomène très à la mode, certains participants s'interrogent sur leur alimentation que ce soit en termes de morale ou de santé. Mais se nouveau phénomène de mode pourrait avoir une face cachée.

Certes, le nombre d'allergies en Europe a doublé en dix ans, mais il y a d'autres causes à ce phénomène. Comme tous ceux qui se sont engouffrés dans ce créneau sans gluten ont vu leurs ventes décollées. Mais la mode à toujours son mot à dire dans le concert du « sans » et il est plus chic d’être vegan que d’être fan de pieds de porc.
Est ce grave tout ses régimes « sans », pourront nous continuer de manger dans la convivialité, trois spécialistes répondent à nos questions.

Olivier Assouly, philosophe, note que ce phénomène ne se résume pas simplement à une mode, mais elle exprime une méfiance face à l'industrialisation de notre alimentation. Mais, ce qui se cache sous ces régimes est une mutation profonde de l’acte de manger qui n’est plus un plaisir, mais un calcul rationnel. Les aliments ne sont plus qu'une substance mesurables (en calories, protéines) où tout est compté. Les industriels rejetés par ces régimes « sans » décider de cibler les consommateurs en leur offrant leur ration de telle substance, malheureusement les petits producteurs artisanaux sont de suivre le rythme. Ce phénomène est le fait de vouloir sauver la consommation en maintenant l’aliment incriminé, mais on n’en arrête pas la consommation, comme la viande sans produit animal ou le pain sans farine de blé.

Jean-Michel Lecerf, médecin spécialiste en endocrinologie, déclare que les croisades contre certains aliments sont sans fondement. Depuis le début du siècle dernier, peu compétent en nutrition des hygiénistes, cherche à accusé certains aliment d'être à l'origine de tous nos maux, mais si le fait que nous sommes seul omnivore engendrait une panique. Le problème n'est pas les aliments industriels, mais la pauvreté des plus démunis qui ne peuvent ce nourri correctement. Les allergies n'ont pas augmenté, à cause des guerres totalement injustifiée nous ne pourront plus partager de repas ensemble.

Bruno Verjus, chroniqueur gastronomique et propriétaire d'un restaurant, il y a 2 catégories de personnes allergiques : les riches qui s'inventent des allergies pour pouvoir refuser tous les plats et garder leur ligne. Et les pauvres qui sont réellement allergiques.

1.2.

Le document 2 est un article informatif, publiée le 26 janvier 2016 par le quotidien « Sud Ouest » l'auteur de cet article n'est pas précisé. En France, il y aurait au moins 5 millions de gens qui serait adepte du régime « sans gluten » des analyses prouve que le sans gluten à des effets néfastes sur la santé des gens qui optent pour.

Certaines personnes atteintes de maladie cœliaque doivent obligatoirement supprimer cette substance de leur alimentation pour des questions de santé, mais seule une proportion minime de la population est touchée, à savoir 1 %. Alors que ce qui suivre ce régime sont beaucoup plus nombreux suivant l'exemple de stars hollywoodiennes. Ce phénomène à était emparée par l'industrie agroalimentaire qui a énormément produit dans leur version « sans ». L'association 60 millions de consommateurs prouve que le « sans gluten » n'est pas recommander pour la santé.

En supprimant le gluten de l'alimentation, on supprime la matière première du produit d'origine comme la farine de blé dans le pain. Ce qui a pour cause des problèmes de texture qui sont compensés par des additifs non-naturels.

Le problème du « sans gluten » est qu'ils ne bénéficient pas de protéines présentes dans le poisson, la viande, etc ce qui pénalise les végétaliens ou végétariens qui eux ne mangent aucun produit animal.

Les promesses d'amincissement du régime « sans gluten » ne tiennent pas leur promesse bien au contraire. Les conséquences poussent à manger plus avec les produits « sans gluten » ce qui fait grossir d'avantage au lieu de perdre du poids. Puis si un jour, on décide d'en reprendre même à petite dose, le gluten se stockera dans les graisses et il y aura une prise de poids. 

1.3.

Le document 3 est un article informatif de Pascale Santi, publiée le 22 mars 2012 par le quotidien « Le Monde ». Cet article nous fait savoir qu'il y a un nouveau trouble de l'obsession de manger saine « l'orthorexie », nous amènera à une disparition de la convivialité d'un repas partagé.

Depuis la fin du 20 siècle, il y a un nouveau trouble répertorié l'orthorexie. Ce trouble a pour but de manger sain jusqu'à en faire une obsession, les conséquences de ce trouble sont que les personnes ne pensent pas cas leur repas de la journée. Il y a 2 catégories pour classer les aliments : les aliments jugées nocif pour la santé et ceux qui soignent. Apparemment, l'industrie agroalimentaire serait jugée responsable de cet empoisonnement.

L'orthorexie n'a pas encore était totalement délimiter, mais ce trouble entraînerai l'individu à se couper du monde. Le nombreux de personne atteints par ce trouble n'a pas encore était estimer, mais les chiffres montrent que ce n'est pas qu'un phénomène. Les spécialistes n'ont pas encore déterminé ou commencent l'obsession à la nourriture et ou ce trouble s'arrête.

Jean-Michel Lecerf, médecin spécialiste de la nutrition, déclare qu'aujourd'hui 10 % de gens considère l'alimentation comme un problème. Manger fait partie notre patrimoine culture française est, il se demande si nous continuerons de partager des repas dans la convivialité.

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