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Compte rendu de lecture Venus d'Ile

Fiche : Compte rendu de lecture Venus d'Ile. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  1 Mars 2018  •  Fiche  •  1 533 Mots (7 Pages)  •  3 839 Vues

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              Compte rendu de lecture : La Vénus d'Ille

L'auteur : Prosper Mérimée

                         Prosper Mérimée est naît le 23 septembre 1803 à                            Paris. Son père est peintre et professeur de                             dessin et sa mère est une artiste-peintre. issu                          d'une famille bourgeoise et artistique, il suit ses                            études au lycée Henri IV à Paris. En 1819 après                          son Baccalauréat Sous les conseils de son père il                          commence des études de droit et il va obtenir sa licence. Il se passionne aussi pour l'étude de langues, pour l'histoire, la littérature étrangère, le dessin et l'archéologie. En 1822 Mérimée commence une tragédie (Cromwell) dont il fait une lecture chez son ami Viollet-Le-Duc. Il aimerais devenir écrivain mais il n'a ni nom, ni fortune, mais il parvient à force à faire son entrée dans la vie mondaine et fréquenter les salons parisiens. Dans un salons littéraire il rencontre de grands auteurs tels que Victor Ugo, Stendhal et Alfred de Musset. Dés 1825 il publie des textes, en particulier des nouvelles que le font connaître. Puis il va devenir inspecteur général des monument historique. Sa réputation commence à être importante et les nouvelles de 1830, 1840 et 1845 lui assure un vrai succès. Il s'agit de la Vénus d'Ille, Colomba et Carmen. Prosper Mérimée est un homme du 19e siècle, il est à la fois fantaisiste, sérieux, romantique et classique. Passionné de littérature Russe il travaillera sur des traductions à la fin de sa vie avant de décéder à Canne en 1870.      [pic 1]

Résumé :

L'histoire est raconté par un archéologue. Il se rend à Ille à Roussillon pour rendre visite à M de Peyrehorade qui est antiquaire. Le narrateur est accompagné d'un guide sur le chemin pour se rendre à Ille. Le guide lui raconte que M de Peyrehorade lui a demandé avec Jean Coll de déraciner un vieil olivier mais ils ont trouvé une statue antique, une Vénus. Ils ont essayé de la mettre droite mais la statue à casser la jambe de Jean Coll, il ne pourra donc plus jamais marcher. Le guide à aussi informé le narrateur que le fils Alphonse de M de Peyrehorade allez se marier avec une jeune femme fortuné Mlle Puygarrig. Le narrateur va arriver à Ille est va être accueilli et logé par M de Peyrehorade. Le lendemains M de Peyrehorade lui montre la Vénus, ils vont discuter de l'inscription qui est inscrit dessus. Le narrateur va faire la connaissance de M Alphonse qui va lui parler de sa fiancé et il va lui monter la bague en diamant qu'il va lui offrir. Le jour du mariage de M Alphonse est un Vendredi « le jour de la Vénus » le narrateur à du mal à dessiner le portrait de la Vénus et M de Peyrehorade offre des roses à la Vénus et lui demande de protéger le futur couple. Pendant qu'Alphonse est déjà prêt il regarde une partie de jeu de paume qui est jouer part une équipe local et par une équipe espagnol, mais il voit que les espagnols sont entrain de gagner alors il va se joindre à eux mais sa bague de diamant le gène lorsqu'il joue alors il décide de l'enlever et la passe autour du doigt de la Vénus pour ne pas la perdre, il va alors gagner la partie contre les espagnols. Ils vont ensuite se rendre à la cérémonie mais M Alphonse a oublier la bague de diamant autour du doigt de la Vénus. Mais il à une autre bague sur lui qu'une femme lui avait offerte à Paris. Le soir M Alphonse n'arrive pas à retirer la bague de la statue il demande au narrateur d'aller vérifier, mais le narrateur ne le prend pas au sérieux il pense qu'il veut juste lui jouer un mauvais tour car il a bu. Le narrateur va donc se coucher mais dans sont lit il entend d'abord des pas légers (il pense que c'est la marié) puis des pas plus lourds (il pense que c'est M Alphonse). Le matin il entend de nouveaux des pas légers et des cris. Il se lève et se rend dans la chambre des mariés il trouve le marié mort sur le lit et sa femme en crise. Le marié n'a aucune trace de sang et il n'y a aucune trace d'effraction ils vont d'abord soupçonner le capitaine espagnol de paume mais il à un alibi. Les empreintes que le narrateur remarque dehors mènent directement à la statue. Le procureure raconte au narrateur la version de la marié qu'il crois folle. Elle c'est couché la première, elle à entendu quelqu'un entré dans sa chambre elle pensait que c'était son mari. La personne était glacé. Un peu plus tard une autre personne est entrée dans la chambre et à dit « Bonsoir ma petite femme » la jeune marié à alors regardé est à vue la statue entrain de serrer son mari en l'étouffant. Puis elle c'est évanouie et c'est réveiller le matin. Après l'enterrement le narrateur quitte l'Ille pour renter à Paris, il apprend quelques mois plus tard que M de Peyrehorade est mort, sa femme à alors décidé de faire fondre la statue et d'en faire une cloche.  

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