Charles Baudelaire

Thomas

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Mort à 46ans, Charles Baudelaire était un poète français. La poésie étudiée fait partie d’un recueil appelée « les fleurs du mal » dans lequel Baudelaire détache la poésie de la morale. Comme le suggère le titre de son recueil, il a tenté de tisser des liens entre le mal et la beauté, le bonheur fugitif et l’idéal inaccessible la violence et la volupté, mais aussi entre le poète et son lecteur. Le poème appartient à la partie Tableaux Parisiens du recueil. Charles Baudelaire peut être considéré comme un des représentants du mouvement du symbolisme.

Ce poème est présent lors des deux éditions des fleures du mal. Lors de la première publication, il figurait en deuxième position de la partie Spleen et Idéal. C’est désormais l’Albatros qui occupe cette place. Le poème composé de trois strophes de respectivement 8, 8 et 4 vers, en alexandrins. L’auteur y expose une réflexion sur la figure du poète. Dans ce poème l’auteur nous parle dans un premier temps de la ville dans laquelle il se trouve, il la décrit comme vielle et délabrée. Ensuite, il parle du soleil et fait explique son rôle sur la terre et l’homme puis, il termine en faisant une comparaison entre le soleil et le poète.

Champ lexicaux

champ lexical de la poésie : « rime (v,6), mots (v,7), vers (v,8)

l’auteur souligne l’aspect vieux : « le vieux Faubourg (l,1) » ; « masures (l,1) » + vicié de la ville

1) la balade dans une ville délabrée ,

2) le rôle du soleil sur la terre et sur les Hommes

3) la comparaison entre le soleil et le poète

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