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CEJM théme 1

Étude de cas : CEJM théme 1. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  1 Avril 2019  •  Étude de cas  •  3 070 Mots (13 Pages)  •  25 310 Vues

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Dossier 1 : Management

Lola Thessier veut créer une entreprise « La BioBox ». C’est un concept de box mensuel que les clients reçoivent chaque mois par abonnement. C’est un colis de découverte avec une sélection de 6 à 8 articles issue de l’agriculture biologique.

Pour sa création, premièrement, elle doit trouver une idée et la tester (ici, l’idée est le box mensuel). Le nom « La BioBox de Lola » est désignée, c’est son prénom à elle, donc libre pour être utilisée. Après avoir étudié les nouvelles tendances de consommation, elle souhaite en effet développer le concept de box par abonnement, son modèle économique se base sur le succès de la FoodizBox dont elle s’inspire. Mais avant de se lancer, elle doit tester la faisabilité de son projet en réalisant une étude de marché. Cela lui permet de découvrir le marché et ses tendances, de vérifier l’existence d’une demande et d’étudier toutes les offres qui sont déjà existantes. De cette manière, elle identifie tous les concurrents et les stratagèmes qu’ils appliquent. Elle pourra ainsi fixer des prospectives de chiffre d’affaires et de parts de marché.

Deuxièmement, c’est la partie du financement du projet. Avant la création d’une entreprise, il faut déterminer l’ensemble des moyens nécessaires pour lancer le projet : on détermine les investissements à réaliser et le montant de la trésorerie de départ qui permettra d’assumer les premières dépenses (frais de création, achat de matériels…). Une fois les besoins financiers estimés, la recherche des financements va commencer. Mais, Lola Thessier n’a pas ce problème, car le plus grand avantage de l’abonnement est la récurrence, qui permet d’avoir une bonne visibilité sur la rentrée de l’argent et sur l’évolution de la clientèle. En outre, le e-commerce permet de se lancer avec des fonds limités. Comme c’est le cas avec FoodizBox selon : http://www.my-business-plan.fr : HTTP implique que le site est authentifié et sûr. Donc, les informations données sont vraies.

Quand elle estime ses besoins financiers ; si nécessaire, elle peut rechercher des financements qui peuvent résulter de la réunion de plusieurs sources.

• Les apports de Lola Thessier, cela représente ses apports personnels. Ils constituent ses fonds propres.

• Les levées de fond qui correspond aux apports réalisés par des investisseurs privés ou publics.

• Les prêts bancaires attribués pour financer la création d’entreprises. Si madame Thessier a des fonds propres et si son projet est bien préparé, cela facilite l’obtention d’un financement bancaire.

• Elle peut aussi solliciter le financement participatif qu’on appelle le « Crowdfunding ». Il consiste à demander les participations des particuliers sur une plate-forme Internet pour financer son projet.

Aussi de même, elle a la possibilité de solliciter l’État et les collectivités territoriales qui proposent des aides à la création d’entreprises sous diverses formes : aides financières, allégements fiscaux, exonérations de charges sociales, mise à disposition de locaux…

Un troisième point, et le plus important est qu’avant de s’aventurer, madame Thessier doit établir et effectuer la rédaction d’un « business plan ». C’est le document qui donne une structure formelle à son projet par écrit. Il présente les éléments principaux (notamment financières) du projet. La rédaction du business plan est impérative pour analyser le projet, et pour vérifier sa faisabilité et sa viabilité. Celle-là va lui permettre de poser le projet sur papier, et ainsi d’anticiper certaines phases de coûts. De plus, il permet de garder une trame et une trace claire du projet.

Ce document, « le business plan », est essentiel, car il est attendu par les investisseurs et autres partenaires pour les convaincre du sérieux du projet et de la viabilité économique de la future entreprise. Toujours dans l’hypothèse que si elle va avoir besoin de financement. Ce qui n’est pas le cas pour le e-commerce au départ en prenant appui sur l’expérience de FoodizBox.

Pour faire son business plan, elle doit respecter des règles incontournables. Elle doit commencer par un « executive summary », pour résumer le projet est exposé sa pertinence pour convaincre les partenaires et de faciliter la levée des fonds. Elle doit indiquer sur 2 pages maximum :

• Son nom à elle, la créatrice, son équipe et son parcours et ses compétences

• Son offre, et sa pertinence sur le marché : si c’est une offre existant, s’il y a un besoin

• Son modèle économique : politique de prix, perspectives de chiffre d’affaires, ou de rentabilité

• Son plan commercial et marketing envisagé. Elle doit choisir un statut juridique et réaliser les formalités administratives. C’est une étape importante de la création d’entreprises, car il va avoir des conséquences fiscales et sociales. Elle doit choisir la forme juridique qui convient le mieux à son projet (activité de l’entreprise, nombre d’associés s’il y en a). Après avoir choisi le statut juridique qui convient le plus, les formalités administratives de création d’entreprises vont permettre de déclarer l’activité est d’obtenir une immatriculation. L’ensemble des formalités peut être réalisé auprès de centre de formalités des entreprises, qui va centraliser les différentes pièces du dossier et les transmettre aux différents organismes et administrations concernées par la création de cette entreprise.

La finalité de l’entreprise est sa raison d’exister définie lors de sa création par ses fondateurs. Madame Thessier souhaite développer le concept des « box » par abonnement, avec le souci de s’inscrire dans une démarche globale de développement durable. Les finalités de son projet BioBox sont :

• La finalité économique cela consiste à crée de la valeur financière en combinant le profit et la croissance. Madame Thessier cherche à s’associer avec de grandes marques de l’alimentation biologique afin d’acheter à bas prix et de leur assurer en contrepartie un nouvel outil publicitaire. C’est une stratégie gagnante, car les « box » sont « un moyen de mercatique exceptionnel » comme le précise Michaël Maarek. Madame Thessier peut même être rémunérée pour inclure certains produits dans les « box ». Alors, « un bon prix d’acquisition du produit » est égal à une bonne marge, donc une valeur financière croissante.

• La finalité sociale correspond à l’engagement

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