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Aurons-nous encore du travail demain ?

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Par   •  1 Mars 2020  •  Dissertation  •  996 Mots (4 Pages)  •  428 Vues

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                            Commentaire : Aurons-nous encore du travail demain ?

Depuis des siècles, il alimente les théories des plus grands économistes et donne lieu à une confrontation entre salariés et dirigeants d’entreprises. Le travaille est entré dans une nouvelle zone de turbulences. Les grains de productivité apportés par les nouvelles technologies vont-ils entraîner sa disparition ou bien sa métamorphose va-t-elle aboutir à un nouveau partage de l’activité, à des organisations différentes et des relations sociales renouvelées ?

Nous allons étudier sur la question suivante, Aurons-nous encore du travail demain ?

Nous allons voir premièrement comment travaillons-nous aujourd’hui puis deuxièmement comment travaillerez-vous dans dix ans.

Premièrement nous allons voir comment travaillons-nous aujourd’hui. Le travail d’aujourd’hui est en danger avec toutes les nouveautés. Le nombre d’heure depuis 1841 à bien changé, en 1841 le travail des enfants de moins de 12 ans est limité a 8 heures par jour et à 12 heures pour les enfants de moins de 16 ans, en 1892 la limitations de la durée quotidienne du travail à 11 heures pour les femmes et les enfants, en 1906 la loi institue pour là première fois un jour de repos hebdomadaire obligatoire, le dimanche, en 1936 le Front populaire ramène la durée hebdomadaire du travail à 40 heures et accorde deux semaines de congés payés, en 1982 la durée légale du travail passe à 39 heures par semaine, sans perte de salaire, et la cinquième semaine de congés payés est étendue l’âge de la retraite est abaissé à 60 ans  puis en 2000 les entreprises de plus de 20 salariés doivent appliquer les 35 heures. Le travail de maintenant est alors plus difficile car il y a beaucoup plus d’heure que en 1900 mais il y a aussi des avantages comme les congés payés. Le travail, c’est la propre de l’homme il est alors nécessaire à l’homme de travaillé pour produire ses conditions de vie et reproduire sa vie car la nature propose que des biens limités rare ou inadaptées, c’est aussi de la torture car le travail est mal considéré, réservé aux esclaves et aux « gens de nature inférieure ». L’homme doit se libérer de la servitude du travail vécu comme une mutilation de la nature. C’est aussi un objet de désir c’est le besoin de travail en fait une vocation, une énergie mobilisée vers un but. Il est une contrainte vitale et sociales. Mais aussi un vecteur de liberté avec l’épanouissement de l’homme, sa liberté, nécessite du temps libre. Mais il est aussi source de liberté individuelle et à l’inverse de la joie au travail. Ensuite une notion morale, le travail est à la fois châtiment et malédiction. C’est un facteur de production comme le capital, il doit être organisé de manière efficace et efficiente. Une source de valeur, le travail produit de la valeur, il permet d’obtenir toute choses utiles et abondance. Un booster social permet de se construire une identité sociale, de jouer un rôle dans la société, de développer des relations sociales et de la sociabilité. Puis l’occasion de créer, le travail éduque en confrontant l’homme aux contraintes du réel. Il est source de vertus : efforts, projet, estime de sol, culture…

Nous avons vu premièrement comment travaillons-nous aujourd’hui maintenant nous allons voir deuxièmement comment travaillerez-vous dans dix ans.

Deuxièmement, nous allons voir comment travaillerez vous dans dix ans, les métamorphoses du travail sont loin d’être terminées voici quatre types d’organisations imaginables pour 2030 avec leur avantage et leurs possibles inconvénient. On peut prendre comme exemples UBER car ce mode d’organisation, appuyé sur une plateforme numérique, remet radicalement en cause ce qui constituait le cœur de notre vision : un emploi relativement stable ouvrant des droits sociaux, un employeur bien identifié, des horaires déterminés. En France Stratégie, un organisme rattaché au Premier ministre, a listé les tendances lourdes à la fois économiques, technologiques et démographiques, pour imaginer quatre scénarii du travail à l’horizon 2030, du meilleur au pire. Dans un premier temps l’organisation apprenante considérée comme être vivant qui se nourrit d’informations issues de son écosystème pour adapter son comportement, l’organisation apprenante est orientée vers le travailleur. Elle propose des pratiques organisationnelles et managériales participatives qui favorisent la décentralisation des décisions, l’autonomie, le travail en équipe. Le domaine de la santé et le secteur du médico-social pourrait glisser de l’organisation simple vers le modèle apprenant. Dans de nombreux pays avancés en la matière (Canada, Suède, Pays-Bas) des systèmes de santé hautement performants sont apparus, avec des structures reposant sur une prise en charge multidisciplinaire et intégrant l’ensemble des acteurs dans une seule organisation. Dans un deuxième temps la plateforme collaborative, à l’horizon 2030, on va assister à l’intensification de la concurrence économique, à l’avènement du big data, à l’élévation du niveau d’éducation et à l’affaiblissement des syndicats. La combinaison de ces quatre phénomènes va créer pour les entreprises une grande complexité avec une tension forte entre la gestion à court terme (rationalisation des coûts, réactivité, etc.) et la vision de long terme (capitale humain). Les cinq facteurs qui détermineront l’organisation du travail demain sont Technologies (NIC, Robotisation et Démocratisation), Société (Autonomisation des individus et Elévation du niveau de formation), Economie (Concurrence accrue, Instabilité, classe moyenne mondiale et croissance des inégalités), Institutions (Evolutions réglementaires, Modèle de protection sociales et Rôle et place des syndicats) et Démographie (Vieillissement de la population). Avec le développement du numérique et de l'automatisation, l'emploi va, sans aucun doute, se polariser. Cela signifie qu'il y aura plus de postes peu qualifiés et plus de postes très qualifiés, avec le risque que les employés « intermédiaires » se déclassent et concurrence le travail des peu qualifiés.

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