Analyse linéaire Une charogne de Baudelaire

S’inscrivant dans la continuité de son idole Théophile Gautier, Baudelaire fait partie de la seconde génération d’auteur romantique dont on surnome le romantisme noir. Leurs écrits peuvent etre qualifié de macabre ou fantastique. Le poème étudié, « une Charogne » rentre dans ces criteres car Baudelaire traite un thème vil et répugnant sur un mode noble et précieux en parodiant la poesie lyrique amoureuse. L’auteur de ce poeme, Charles Baudelaire est un poete du XIX siecle dont la modernité poetique releve du symbolisme. Baudelaire est connu pour avoir introduit des themes novateurs et probocateurs dans le receuil les fleurs du mal ce qui va dont engendrerd une censure de ce receuil a sa publication en 1857. La Charogne est le vingt cept ieme pome de la section « Spleen et Idéale » des Fleurs du mals, en le lisant on peut se demander comment Baudelaire parvient a transformer l’informe en objet transfiguré. Le poeme est séparée en trois étapes, la première est l’etape de la rencontre surprenante durant une balade amoureuse puis celle de la resurection artistique et enfin l’etape de la prophécie cruelle.

La premiere étape du poeme est celle d’une rencontre surprenante durant une balade amoureuse. Cette etape est constitué des trois premiere strophes du poeme. Le poeme commence par une invitation aux souvenir sur le ton de l’impératif « Rappelez-vous » tout en indiquant implicitement que l’auteur était accompagné à ce moment la grâce aux pronom personnel « vous » et « nous ». De plus l’auteur accentue l’idée romantique de cette ballade en mettant « mon âme » en apposition révélant une discussion personnelle forte. Ainsi dans le deuxième vers l’auteur continue d’installer un cadre de ballade amoureuse paisible avec le groupe nominal « beau matin d’été » le cadre propice a une balade amoureuse et l’allitération en s de « Ce beau matin d’été si doux » permet de renforcer l’intimité du cadre en mettant en évidence l’adjectif doux. Dés le troisiele vers le cadres parfait de la balades amoureuse jusque la mit en place par l’auteur est brisé. En effet, l’inhabituelle s’installe des le début du vers dut aux complément circonstancielle de lieu « au detour d’un sentier » le csentier guide le lecteur et lui fait « tourner le regard » vers cette « charogne infame » qui elle brise completement la balade amoureuse avec une vision que l’on commprend terrible voir difficile a tolerer grace a l’adjectif « infame » qui amplifit l’effet epouvantable de la charogne. L’anthithese « lit semé de cailloux » se trouvant dans le quatrieme vers et cree une idee d’inconfort que l’on peux mettre en lien avec l’inconfort que cree la charogne dans la balade. La charogne est metaphoriser en femme aux allures erotiques avec l’utilisitation du chams lexical de la luxure : « Jambes en l’air », « femme lubrique », « brulante »,  cela a pour effet d’accentuer l’effet repoussant de la charogne car selon les meours de l’epoque les femmes devait etre pudique et donc a l’inverse de lubrique. Finalement le groupe adjectival « plain d’exhalaisons » renforce l’idee de la puanteur et du degout cree par la charogne infame. L’idee d’un charogne écoeurante et repoursante c’est dégageger et maintenat vient la transcendence. En effet, dans la derniere strophe de la premiere étape on peut voir des aspects religieux et divins. « le soleil rayonnait sur cette pourriture » l’anthithese en tre la rayonnement et la pourriture donne un aspect divin et l’utilisation de l’imparfait permet de faire colprendre que cette puissance est éternel tandis que la simple pourriture se désagrege. Deplus L’allegorie de la « Nature vient donc renforcer l’aspect divin et de toute puissance instoré et finalement l’hyperbole « au centuple » met en évidence le cycle de la vie et la mort religieuse.

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