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Écriture personne sur la vitesse

Dissertation : Écriture personne sur la vitesse. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  20 Mars 2021  •  Dissertation  •  834 Mots (4 Pages)  •  300 Vues

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Ecriture Personnelle

Rythme de vie et vitesse sont souvent associés : être le plus rapide, gagner toujours plus de temps, d’argent, réaliser les meilleures performances… Le rythme de vie représenté par différents points de vue. Comme avec Pierre Sansot, un bon usage de la lenteur ; ou un petit tour à Metz, tiré d’un blog ; ou encore, éloge des chemins et de la lenteur de David le Breton. Ces documents montrent tous un point de vue différents sur le rythme de vie et les difficultés à ralentir. Nous pourrons par conséquent se poser la question, pourquoi avons-nous tant de difficultés à ralentir notre rythme de vie ?

Tout d’abord, nous verrons que nous avons des difficultés à ralentir notre rythme de vie en prenant en compte les causes économiques.

En premier lieu, on va prendre en compte l’aspect de la citation « le temps c’est de l’argent » de Benjamin Franklin d’un point de vue économique. L’argent est l’une des causes principales au niveau économique du « pourquoi nous avons tant de difficultés à ralentir notre rythme de vie ». Aujourd’hui le temps nous est précieux, nous pensons que chaque minute perdue c’est de l’argent que l’on aurait pu gagner. Nous sommes dans le besoin d’aller vite car nous sommes dans une culture de grande consommation. Dans la bande d’annonce du film : L’urgence de ralentir, de Philippe Borrel, on nous dit « que le temps ne semble plus pouvoir échapper à l’argent. Que nous vivons la colonisation du temps humain, par le temps économique ». L’argent permet pratiquement de tout faire vivre, aider, se faire plaisir. Sans argent, nous ne ferions pas grand-chose.

Mais, on remarque dans un second temps que notre rythme de vie peut brutalement s’arrêter sans que l’on puisse faire quoi que ce soit. Comme nous l’avons vécu les derniers mois, une crise à stopper notre rythme de vie « le Covid-19 ». Cette crise qui a duré longtemps nous à permis de reconstruire un rythme de vie plus lent. On a appris à ne plus trop penser à l’argent et à se consacrer à notre vie sociale.

Lorsque l’on n’avait pas encore vécu cette crise, nous avion était pris dans un engrenage, qui a fait qu’on n’a pas arrêter de travailler. Quelques mois plus tard, nous avions pu reprendre le travail, ce qui a était à la fois compliqué car nous n’étions plus habitués et on n’aurait plus autant de temps de repos. D’autre part, plutôt satisfaisant car nous allions reprendre une activité. Aujourd’hui, nous travaillons toujours plus vite car malgré que la crise nous ait apporter quelques mois temps de repos, nous avions peur de ce qui peut se passer demain.

Ainsi, dans un premier temps, les difficultés à ralentir notre rythme de vie est présenté comme une cause économique.

Néanmoins, les difficultés à ralentir ne sont pas liés qu’aux causes économiques. Elles sont aussi liées aux causes culturelles et sociales. C’est ce que nous verrons dans la deuxième partie.

        

En second lieu, les difficultés à ralentir notre rythme de vie sont liés aux causes sociales et culturelles. Dans le texte de Pierre Sansot, « du bon usage à la lenteur », il décrit que la lenteur n’est pas considérée comme une bonne réputation. Aujourd’hui les personnes de la société préfèrent travailler avec des personnes rapides, toujours plus rapide, plus efficace, plus rentable. Plutôt que des personnes lentes qui sont dit-il « empotés, maladroit, lourdauds ». Les personnes qui sont lentes son dévalorisé car on va chercher une personne qui est motivé, avec beaucoup de dynamique. Cette personne serait énoncée comme étant une personne performante. Pour autant une personne rapide, qui appelle en réaction de ralentir, de calmer le jeu, n’est pas forcément très bien car elle devrait se laisser plus de temps pour elle et les autres comme le montre un extrait d’un blog « Un petit tour à Metz » qui énonce qu’il a souhaité s’arrêter à Metz pour profiter avec sa famille de quelques instants de bonheur. Comme le définit David le Breton, dans « l’éloge des chemins et de la lenteur », il insiste à dire que « la lenteur ne consiste pas à gagner du temps, mais à le perdre avec élégance ». La lenteur est synonyme de tendresse, de respect.

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