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Corpus de la musique avant toute chose

Étude de cas : Corpus de la musique avant toute chose. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  25 Avril 2021  •  Étude de cas  •  569 Mots (3 Pages)  •  1 554 Vues

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Synthèse du corpus issu de  « la musique avant toute chose »                         Ludivine Fernal

                Karine Pecharman

                Lisa Legrand

                Vanessa Ambrosio

« La musique pénètre à l’intérieur de l’âme » disait Platon, philosophe de l’Antiquité Grecque. L’unité du corpus repose d’abord sur l’idée que la musique a un réel pouvoir sur l’homme. Le premier point sur lequel les auteurs se rejoignent sont les effets de la musique sur l’homme. La deuxième thèse sur laquelle les auteurs sont en accord est la façon dont la musique s’immisce en lui. Dans une troisième partie, malgré les nuances qui vont être observées, les auteurs du dossier se complètent pour trouver la responsabilité de l’homme face à ce que provoque la musique.

En effet, d’après, Vladimir Jankélévitch, Philosophe français, (1903-1985) « La musique et l’ineffable » dans un article de « Points Essais » paru en 2015, la musique a un pouvoir sur l'homme, sur le système nerveux ainsi que sur ses fonctions vitales. Il cite Liszt, pianiste et compositeur Hongrois (1811-1886) auteur de la pièce musique intitulée « La puissance de la musique ». De la même manière, Vadim Prokhorov écrit un article dans journal Britannique « The Guardian », cite James Kellaris qui ajoute que l’on ignore ce qui génère le phénomène de la chanson qui reste en tête. C’est une idée que l’on retrouve chez Charles Baudelaire, écrivain (1821-1867) du XIXème siècle, dans son recueil « Les Fleurs du Mal » paru en 1857. Il complète la théorie en précisant que la musique peut prendre l’homme autant positivement que négativement. Il évoque que « la musique prend souvent comme une mer ». Ainsi, la musique est un art qui permet à l’homme de pouvoir s’exprimer grâce à une mélodie.

Cependant, la suite des documents dépasse ce simple constat en avançant l’idée que la musique s’immisce dans l’homme. En effet, selon Vladimir Jankélévitch, la musique prend possession de l’homme tout entier. Elle s’installe dans notre intimité et semble y élire domicile. James Kellaris précise que les « vers d’oreilles » sont des musiques qui activent le cortex auditif tant à l’écoute qu’à l’imagination de l’écoute. Charles Baudelaire complète cette idée en expliquant que l’homme subi la musique quand il dit « Je sens vibrer en moi ».

Ces idées sont néanmoins nuancées puisque Vladimir Jankélévitch pense que la musique ne justifie pas nos actes, l’homme reste responsable, la musique l’influence comme par magie mais ne justifie pas ses actes. Ce phénomène est abordé différemment dans l’article de Vadim Prokhorov qui affirme que l’étude de James Kellaris révèle qu’une chanson inconnue ne reste pas en tête comme le ferait un air connu et de ce fait l’homme ne peut pas la contrôler.

Le corpus de documents a finalement conduit à considérer que la musique a un réel pouvoir sur l’Homme. Les trois auteurs s’accordent sur le fait que ce dernier n’a pas toujours la maîtrise de lui-même. La musique a des effets positifs ou négatifs sur lui. Elle s’introduit en lui.

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