Jean Cocteau

Jean cocteau est un poète francais du 20 siècle. Mais il est aussi un dramaturge, un realisateur, un dessinateur et un peintre. Il écrira des pièces de théatre très original et avangardistes qui vont choquer le publique. C'est un artiste complet qui a beaucoup joué sur la provocation. C'est en 1932 que jean cocteau ecrit une nouvelle pièce de theatre « La machine infernale ». cette piece est directement inspirée du mythe et de l'oeuvre Oedipe roi, de sophocle. L'extrait que nous allons etudier est le passage de l'acte 1 ou se fait la premiere aparition de jocaste. On se demendera par la suite en quoi l'exposition de jocaste est-elle originale? Autrement dis on etudiera tout d'abord le personnage de jocaste et de Tirésias deuxiement le rôle des lieux et ensuite le rôle des objets.

Premièrement nous pouvons voir la portrait de Jocaste, veuve de Laïus et mère d’Œdipe. On voit déjà que c’est elle qui a le plus de réplique dans cet extrait, c’est donc elle qui a le pouvoir de la parole. On peut distinguer chez elle plusieurs caractéristiques, comme son autorité, révélé par de nombreuses phrases courtes, des phrases a l’impératif tel que « taisez vous » (9) et « Ne soyez pas têtu ».(24).

Aussi c’est elle qui prend les initiatives, « c’est moi qui dirige »(26), « en route »(27). Elle se met en avant, et insiste sur sa classe social; « je suis votre reine Tirésias, ne l’oubliez pas ».(derniere ligne du texte). Malgré qu'on puisse penser qu'elle a une totale confiance en elle, on voit aussi que Jocaste est perdue, agitée. Elle se sent persécutée par des objet qui selon elle la déteste, elle est agitée

Dans l'acte 1, Jocaste et Tirésias apparaissent directement sous forme de ridicule ; Tirésias est un aveugle, il marche sur l’écharpe de Jocaste. jocaste, ne ressemble pas à une reine mais comme quelqu'un d'hystérique;

L’échange de petit nom est ici touchant et montre la relation assez complice entre jocaste et tirésias: Tirésias devient « Zizi »

Jocaste fait son entrée de meme magnère qu'elle en sortira: pendue à son écharpe. Ce rôle de l’écharpe est renforcé par: « Elle me tuera ».

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