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Jean Giono, « Le Moulin de Pologne », 1953

Commentaire de texte : Jean Giono, « Le Moulin de Pologne », 1953. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  16 Mai 2023  •  Commentaire de texte  •  1 116 Mots (5 Pages)  •  174 Vues

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Ce texte extrait du roman « Le Moulin de Pologne », écrit par Jean Giono en 1953. Il fait partie du mouvement littéraire le Nouveau Roman. Cette histoire, illustre une femme surnommé Julie qui subit une tragique tragédie, toutes sa famille est morte et elle en est la seul survivante mais elle a eu des conséquences comme le visage déformé. Suite à cet événement, cette femme va se retrouvé dans un lieu nommé « le Casino », ou elle va présenter ses prestations de danses et Julie va faire preuve de nombreuses injustice et le narrateur va les dénoncer. Alors nous pouvons nous demander, comment l’auteur, et par quel procédés dénoncent-ils les injustices de la société ?

Pour ce faire, nous allons voir la description de Julie et du publics et la plaidoirie faite à l’égard de Julie dites par le narrateur. Puis nous aborderons la dénonciation commise pas l’auteur par intermédiaire du narrateur.

Le narrateur pour décrire Julie et le public il utilise un vocabulaire dédaignant. Son « atroce visage » avec l’hyperbole « atroce » il appuie sur l’exagération de la mocheté du visage de julie il laisse sous entendre qu’elle ne lui plaît pas et que aucun homme ne la regardera. Avec le champs lexical « déchiré » il nous dis clairement que son visage est défiguré et pas attirant. Avec le verbe de mouvement « voguait », il dit que Julie est avec des personnes placé hautement dans la société. L femmes placé hautement dans la société il l’ai décris de manière péjorative avec les champs lexicaux suivant « des chignon de pailles, des catogans » il l’ai humilie et dévalorise. Ainsi que les homme il l’ai qualifie avec les champs lexicaux suivant « des yeux ardents,des lèvres avides » il fait passer pour des animaux qu’ils ont faims de chaire fraîche c’est – à dire de femme nous savons qu’il désigne les hommes car il utilise un groupe nominal qui est « des bouches habitués au bon cigare » et cela nous fait penser qu’il désigne des hommes car à l’époque les femmes ne fumaient pas.

Il décris leur rire de manière péjoratif car il utilisent la métaphore « le rire qui me rappela le raclement des cuillers et des fourchettes sur les assiettes dans un réfectoire du collège » ils décris le rire de manière insupportable et agacent avec l’adjectif marquant raclement.avec la comparaison me brûlait comme un acide il ressentait une douleur atroce limites insurmontable. Avec la phrase « qui montrait ses désirs sans pudeur » il laisse apparaître qu’elle joue de son corps et avec le nom « pudeur » il raconte qu’elle na pas honte.

Pour ce faire, le narrateur la défends ainsi il l’a plain. Avec le verbe manquer et la négation ne pas dans la citation suivante « nous ne manquions pas de fille laide », il ne comprends pas pourquoi ils ont choisit elle de la regarder car il y a d’autre femmes mais c’est un peu une forme d’ironie car il le sait très vue que c’est suite à la tragédie qu’elle a subit. Il l’a défends avec la négation ne pas dans la cette citation « Julie n’était pas d’une laideur à faire rire » il dis que n’est pas drôle car c’est du a son accident et non de naissance même si c’était de naissance ce n’est toujours point drôle. Avec le nom « boutade » il insiste sur le fait que les spectateurs se moque d’elle par son physique mais aussi car elle danse seul

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