La lumière de Bouddha

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1        Introduction        2

2        Qui est Bouddha Çakya Mouni        2

3        L’enseignement Bouddhiste        3

3.1        La loi du noyau et des fruits        4

3.2        La loi de la non permanence et le principe du non moi        4

3.3        Le principe du vrai vide        5

4        Les voie du Bouddhisme        5

4.1        La voie humaine,        5

4.2        La voie céleste,        5

4.3        La voie du bon entendeur de la vérité        5

4.4        La voie du connaisseur des interdépendances        5

4.5        La voie du Bodhisattva.        5

4.6        Le Bouddhisme et la Franc-maçonnerie :        8

4.6.1.1.1        La transmission :        8

4.6.1.1.2        Le Grand architecte de l’univers :        8

4.6.1.1.3        Six formes de consciences (37)        8

4.6.1.1.4        Pratique spirituel Bouddhiste () :        8

4.6.1.1.5        Les quatre nobles vérités (78) :        9

4.6.1.1.6        Le noble sentier octuple (86) :        9

4.7        Glossaire :        9

1. Introduction

« A l’humanité plongée dans les ténèbres de l’ignorance,

J’apporte la lumière éclatante de la vérité.

Je lui apporte la libération de la souffrance,

De la vieillesse et de la mort. »

Le Bouddha Çakya Mouni.

Cette phrase bien présomptueuse exsangue d’humilité a été citée par le Bouddha Çakya Mouni appelé aussi Siddhartha Gautama (Sage des Çakya). Je vais essayer en ces quelques mots de vous présenter de quelle lumière et vérité fait-il ici référence.

1. Qui est Bouddha Çakya Mouni

Tout d’abord un rapide historique sur le Bouddha Çakya Mouni.

Né en 623 avant l'ère chrétienne, il était le fils héritier du roi Suddhodana Çakya, régnant sur un état de l’Inde du Nord, à la frontière Sud du Népal. Son nom était Siddhartha Çakya. Marié à seize ans, il passait sa jeunesse heureuse au palais royal avec son épouse et son enfant Rahoula jusqu'au jour où, au cours d'une excursion, son attention fut attirée par plusieurs spectacles bouleversants de la vie humaine. Il chercha dés lors à en découvrir la cause et les moyens d'y remédier. Troquant ses vêtements princiers contre ceux d'un pauvre, il parti du palais dans la nuit de pleine lune du mois de Mai et  mena la vie errante d'un moine pèlerin, allant d'un maitre spirituel à un autre. En même temps il pratiqua de très sévères austérités corporelles.

Au bout de onze ans, il constata que ni le savoir des maitres ni les mortifications physiques ne lui apportèrent la lumière de la Vérité. Il changea alors sa manière de vivre en observant le juste milieu en toutes choses. S'étant installé au pied d'un arbre, à la lisière d'une forêt, il se consacra alors à la méditation.

Après quarante neuf jours, dans la nuit de pleine lune du mois de Mai, il fut illuminé par la connaissance suprême. Il découvrit la cause de la souffrance humaine et les moyens de l'éteindre définitivement. Se rappelant cet instant merveilleux, il raconta plus tard à ses disciples:

« Au moment de mon illumination par la Vérité, mon cœur était parfaitement pur, totalement délivré de tout désir, de tout attachement et de toute illusion. La Voie de libération se révéla dans le cœur de l’homme libéré. Je réalisai en moi l’état de Bouddha. »

Pensant à l’humanité souffrante, il décida de partager avec elle sa connaissance et son expérience. S’appelant désormais Çakya Mouni, durant 49 ans il sillonna l'Inde dans tous les sens et donna d'innombrables causeries. Agé de 81 ans, dans la nuit de pleine lune du mois de Mai de l’année 543 avant l’ère chrétienne, il quitta physiquement le monde.

Pour les Bouddhiste, il réside actuellement au Temple intérieur de la sphère céleste Dâu-Xuat, sous le nom de Bodhisattva Di-Lac (qui signifie Amour).

Sur cette histoire je laisse à votre attention le fait que les trois faits remarquables de sa vie se sont produits au mois de mai par des nuits de pleine lune : son départ du palais, son illumination et son retrait au grand Nirvana.

1. L’enseignement Bouddhiste

Littéralement le Bouddhisme signifie «  la Voie de l’Eveil », son enseignement extrêmement vaste est conservé dans des écritures appelés « Sûtras », mais aussi dans de nombreux commentaires faits sur son enseignement appelés « Abhidharma ».

D’après ces écritures, l’homme selon ses mérites est susceptible de renaître, après la mort, dans l’un des six mondes suivants : Le monde des anges, des humains, des esprits violents, de l’enfer, diables affamés, ou des animaux. Dans ces six mondes, la mort et la renaissance se poursuivent inlassablement comme une roue tournant sans arrêt. C’est la roue du Samsara. L’enseignement de Bouddha a donc pour objectif de briser cette ronde implacable et d’atteindre le « Nirvana ».

Pour y arriver l’homme devra déjà faire attention aux trois poisons de la vie qui emmène l’homme dans les ténèbres ces trois poisons sont :

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