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Pascal Quignard, « La Denière Leçon de musique de Tch’eng Lien »

Mémoire : Pascal Quignard, « La Denière Leçon de musique de Tch’eng Lien ». Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  8 Novembre 2020  •  Mémoire  •  938 Mots (4 Pages)  •  3 602 Vues

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Résumé Français

Cette partie du livre est un chapitre de Pascal Quignard dont le titre est « La Denière Leçon de musique de Tch’eng Lien ».

Tch’eng Lien vivait à l’époque des Printemps et Automnes ( 722-481 avant J-C ), c’était un professeur du Plus-Grand-Musicien-du-Monde. Po-Ya, lui, a étudié durant cinq ans le luth et durant 4 ans la guitare à trois cordes.

Une fois que Tch’eng Lien et Po-Ya se retrouvèrent dans la salle d’instrument, Tc’eng lien demande à Po-Ya son luth, puis le casse et l’écrase par terre, Tch’eng Lien lui demande ensuite sa guitare et la casse, il marcha par-dessus la guitare et sauta par-dessus aussi.

Tch’eng Lien lui explique qu’il faut mettre plus de sentiment dans la façon de jouer la musique.

Pendant que les deux buvèrent ensemble, Po-Ya dit à Tch’eng Lien que son luth datait de peu après la naissance des proverbes, Tch’eng Lien lui fait comprendre que son jeu n’avait pas de sentiment et qu’il a beaucoup à faire avant de s’approcher de la musique.

Ce qui avait décidé Po Ya à l’art de la musique sont : la première, quand il marchait à peine, la deuxième c’était à la mort de l’épouse principale de son père et la troisième était quand il était près de Nakin. Mais toutes ces raisons n’ont pas rapproché l’art de la musique à Po Ya d’après Tch’eng Lien, pendant que Po Ya était en train de parler de ces raisons le son de sa voix s’était éloigné de la musique, elle s’est raffermie.

Thcheng Lien demanda à Po-Ya d’aller chez le réparateur de musique, il y alla le jour même pour réparer ses instruments. Mais encore une fois Tch’eng Lien dit à Po Ya d’abandonner ses nouveaux instruments car la musique est triste et qu’il faut qu’il aille chercher la musique.

Tch’eng Lien entraina Po-Ya pendant qu’ils burent beaucoup, Tch’eng lien lui demande d’acheter un nouvel instrument et de rentrer chez lui. Po-Ya revoie un vieil homme chez qui il fut acheté ses anciens instruments, il lui demande si il lui reste des guitares à trois cordes et un luth, les deux se dirigèrent en boutique et c’est là qu’il trouva enfin de bons instruments qui 4 mois plus tard Po-Ya fait écouter à Tch’eng Lien où cela lui plait énormément, « les doigts, l’oreille, le corps, tout est juste » dit-il. Mais il restait plus qu’à trouver la musique, Tch’eng Lienn e savait plus enseignait Po-Ya.

Après avoir marché pendant 12 semaines, une fois arrivé au pied de la montagne, Po Ya devait rester pendant que Tch’eng Lien cherchait son maitre, Po-Ya commença à s’affaiblir et c’est là qu’il comprit la leçon du maitre, il joua de la guitare et pleura au fond de son cœur et les sons étaient ses larmes. C’est là que Po Ya devint le plus grand musicien du monde.

Cette partie du livre est un chapitre de Pascal Quignard dont le titre est « La Denière Leçon de musique de Tch’eng Lien ».

Tch’eng Lien vivait à l’époque des Printemps et Automnes ( 722-481 avant J-C ), c’était un professeur du Plus-Grand-Musicien-du-Monde. Po-Ya, lui, a étudié durant cinq ans le luth et durant 4 ans la guitare à trois cordes.

Une fois que Tch’eng Lien et Po-Ya se retrouvèrent

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