LaDissertation.com - Dissertations, fiches de lectures, exemples du BAC
Recherche

Dangers des réflexes

Étude de cas : Dangers des réflexes. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  16 Octobre 2017  •  Étude de cas  •  676 Mots (3 Pages)  •  561 Vues

Page 1 sur 3

III) Les dangers

Les réflexes nous aident à nous protéger de nombreux dangers, mais tout cela ne pourrait pas se produire sans l’aide des 5 sens. En effet, c’est grâce à eux que nous pouvons percevoir les dangers.

Citons, tout d’abord le toucher. Celui-ci peut nous protéger d’une piqure de cactus par exemple. En touchant un cactus, la fillette se pique le doigt. Des récepteurs dans son doigt envoient aussitôt un message par les neurones sensitifs vers la moelle épinière. Celle-ci transmet au muscle du bras un message par les neurones moteurs pour qu’il éloigne le doigt Tout cela dure une fraction de seconde. Apres, son cerveau reçoit l’information et la fillette crie « aïe ! ». C’est un réflexe inné car la personne qui touche le cactus ne sait pas qu’il pique mais aura quand même le réflexe de retirer sa main

[pic 1]   

[pic 2]

Nous pouvons aussi parler des brulures : une personne qui touche un plat chaud sans en être averti va immédiatement enlever sa main : c’est encore un réflexe inné. Par contre, le fait de ne plus remettre sa main sur le plat en question est un réflexe conditionné : la personne verra le plat et va machinalement ne pas le toucher voir s’en écarter suite à une brulure sur celui-ci.

L’ouïe peut aussi nous aider dans la détection de dangers. Par exemple, imaginons que l’on entende un bruit de pétard dans la rue. Si l’on sait que le lieu est fort visité, on pourrait les confondre avec des tirs d’armes et croire que c’est un attentat. L’on aurait donc l’intention de se cacher ou de fuir l’endroit. C’est donc un réflexe conditionné : suite aux attentats que l’on voit à la télé, aux infos… on est porté à croire que c’est une attaque terroriste. Si les armes à feu n’existeraient pas, le premier réflexe serait de penser en premier lieu à des bruits de pétard. A l’inverse, se boucher les oreilles lorsque l’on entend un bruit assourdissant est un réflexe inné : On protège machinalement ses oreilles avec ses mains, même si aucun bruit fort a était entendu.

Le gout, quand à lui, peut nous aider à éviter des dangers. Par  exemple, quelqu’un d’allergique à l’arachide qui va manger des cacahuètes va commencer à sentir le gout et les recracher pour éviter une forte réaction allergique. Ceci est donc un réflexe conditionné car la personne a forcément déjà gouté des cacahuètes et a fait la réaction suite à cela.

La vue est utile pour se protéger des dangers. Par exemple, si l’on voit quelqu’un seul qui nous parait bizarre s’assoir à coté de nous au cinéma, l’on peut avoir le réflexe de partir ou de changer de place. Ceci est par conséquent un réflexe conditionné car la personne sera bizarre sur certains critères physiques ou sur le comportement de cette personne appris bien souvent par les parents ou par l’entourage: si celle-ci est seule ou encore si elle s’assit à coté de nous alors qu’il y a beaucoup de places libres. La vue peut aussi nous sauver lorsque l’on voit par exemple un parpaing tomber d’un immeuble : on s’écarte du lieu où il va tomber si on le détecte assez tôt ou l’on met ses bras de manière a protéger sa tête si on le voit trop tard.

...

Télécharger au format  txt (3.9 Kb)   pdf (98.6 Kb)   docx (495.2 Kb)  
Voir 2 pages de plus »
Uniquement disponible sur LaDissertation.com