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SVT - La vision

Étude de cas : SVT - La vision. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  10 Mars 2019  •  Étude de cas  •  437 Mots (2 Pages)  •  674 Vues

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CNED - Devoir de SVT numéro 1

Exercice 1 :

Lors d’une exposition, la patiente s’est rendue compte qu’elle ne voyait plus les couleurs dans la partie droite de son champs visuelle. Sa vision à droite était en noir et blanc. Son médecin hésite entre deux possibles explications :

un accident vasculaire bénin qui aurait détruit une petite zone de son cerveau, une aire visuelle qui appartiendrait à la voie ventrale droite de son cerveau et qui sert à traiter des informations sur la couleur des objets vus,

une dégénérescence de la fovéa, zone de la rétine constituée de photorécepteurs permettant de distinguer les couleurs.

Pour être sur, le médecin décide de faire passer à la patiente un IRM et un OCT.

En comparant l’IRM de la patiente à celui d’une personne normale, on remarque une tâche, c’est la zone détruite. Celle ci se situe sur la gauche et à l’arrière du cerveau. On suppose que cette tâche se situe sur l’air V4, chargée du traitement des informations sur la couleur des objets vus. L’hypothèse de l’AVC serait donc bonne.

En comparant la rétine de la patiente à celle de la rétine dégénérée, on découvre que la première ne présente aucune anomalie et n’a donc aucun problème de dégénérescence. On peut donc abandonner cette hypothèse.

On sait que l’œil envoie les informations au cerveau à l’aide de message nerveux transmis par le nerf optique pour arriver dans l’aire visuelle. Il existe plusieurs aires visuelles qui fonctionnent en interaction et le médecin craint que la destruction de l’air V4 est une répercutions sur le fonctionnement des autres aires visuelles et notamment de l’aire V1.

Les neurones des deux yeux, qui transmettent les messages nerveux, se croisent au niveau du chiasma optique pour établir une connexion. La zone détruite dans le cerveau de la patiente se trouve du côté gauche mais comme les messages se croisent c’est du côté droit qu’elle ne perçoit plus les couleurs.

Le médecin reste optimiste car le cerveau peut guérir grâce à la plasticité cérébrale. La plasticité cérébrale c’est le fait que le cerveau est capable de remodeler les liaisons entre les neurones. Le cerveau de la patiente va donc pouvoir réajuster son fonctionnement pour qu’elle retrouve la vision des couleurs.

Exercice 2 :

Les molécules d’ADN que l’on trouve dans les chromosomes sont porteurs d’informations génétiques. On peut donc étudier ces molécules d’ADN pour distinguer des liens de parentés entre tous ces différents individus.

Dans ces tableau, on remarque que le rat a 95% d’acides aminés identiques à l’homme. C’est ici le pourcentage le plus important on en déduit donc que le rat est, dans cette collection de vertébrés, le plus proche parent de l’homme.

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