Les différentes visions du romantisme

Nous pouvons constater que tous les auteurs n’ont pas la même vision des autres.

Certains auteurs préfèrent parler du romantisme en lui-même.

Dans le roman “De l’Allemagne“, Mme de Stael fait l’éloge du romantisme comme étant une opportunité pour le peuple français d’apprendre de nouvelles choses alors que dans le roman “Mme Bovary“, Flaubert dénonce le romantisme comme étant une chose mauvaise. Selon lui ce n’est qu’une idéalisation de la vie et qu’elle ne doit rester que dans les romans. Toujours, selon lui, le romantisme change les sentiments des personnes qui lisent les romans romantiques mais dans un sens négatif comme par exemple, Mme Bovary n’éprouve aucun remords face à sa liaison et tout ça à cause du romantisme.

D’autres auteurs préfèrent parler du temps, ils ressentent une faiblesse face au temps qui passe et qu’ils ne peuvent rattraper cela est le cas pour Chateaubriand et Lamartine. Ils expriment une peur que tout êtres éprouvent, celui de ne plus se souvenirs des bons moments passés.

D’autres encore préfèrent parler de l’influence qu’a le protectorat sur le peuple, ils dénoncent une réalité importante qui cause du mal aux classes inférieures.

Cela est le cas dans les romans “Les Misérables“, “En rouge et noir“ et “Salambo“.

Les auteurs parlent de l’oppression qu’exerce la classe riche sur le peuple.

A leur époque, les soldats et les riches avaient beaucoup plus de pouvoir que le peuple. Les paysans étaient détruits petit à petit par le protectorat mais ils ne réagissaient pas.

Victor Hugo a très bien symbolisé le peuple par Gavroche, car celui-ci était innocent et sans défense, il se laissé marcher dessus sans réagir.

Au fil du XIXème siècle la vision des autres a donc évoluée, les thèmes traités dans les romans ne sont pas les mêmes. Mais l’expression des sentiments a été le thème le plus traité, Chateaubriand a exprimé les sentiments que ressentaient les jeunes dans son roman “René“, d’autres auteurs ont exprimés le sentiment de la peur, de l’amour,….

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