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Peut-on se référer à la nature pour justifier des conduites humaines ?

Dissertation : Peut-on se référer à la nature pour justifier des conduites humaines ?. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  26 Avril 2022  •  Dissertation  •  836 Mots (4 Pages)  •  1 753 Vues

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Dissertation Philosophie

  Nous devons répondre à une question que l’on se pose, Peut-on se référer à la     nature pour justifier des conduites humaines ? Pour ce cas je vais y répondre en 2 parties en définissant les termes importants qui sont la nature et les conduites humaines.

  La nature est un ensemble d’élément que l’être humain n’a pas créé on peut voir que cette nature peut être modifié par l’homme, transformée. Comme je l’ai dit précédemment la nature n’a pas été créé par l’homme donc on suppose que la nature à un créateur dans la plupart des cas on évoque Dieu comme créateur de la nature qui est infini contrairement à l’homme qui est une créature donc on sait que l’homme n’est pas infini, il a une fin qui est la mort.          

  On dit que l’homme est « instruit » il comprend qu’il ne peut pas connaitre la nature, instruit est quand on a l’acquisition d’un savoir, dans ce cas-là il faut faire l’abstraction de l’instruction l’éducation et le dressage, le dressage concerne l’animal qui vit dans un monde nature et l’éducation qui est le développement des facultés humaines.

La conduite est le comportement qu’on peut observer sur une personne mais la conduite humaine est lorsque les règles sont respectées à la lettre.


« Tous les peuples naissent et restent libres et égaux », tel est le contenu de la « Déclaration sur la nationalité et les droits français » de 1789 et de la Constitution de la Cinquième République de France en 1958... Ainsi, la « liberté » semble être une qualité naturelle innée dans laquelle naissent les humains. Cependant, comme tout document juridique, ce droit accordé à personne n'est valable que si certaines obligations sont requises. Par conséquent, la « liberté » est entourée des normes et des règles définies dans une société démocratique. Cependant, l'existence de la «liberté» est souvent définie comme le droit d'accomplir ce qu'il veut faire, qu'il agisse ou non et n'est lié par aucune obligation morale ou légale. Par conséquent, on ne peut lire «libre» que par la «volonté» du sujet. Cette «volonté» peut être décrite comme un fait ou «décider rationnellement» d'événements sélectionnés. Cependant, les «désirs» semblent impératifs, empêchant les gens d'accéder à toute liberté. Il faut donc se demander: un homme qui est un homme libre peut faire des choix raisonnables, est-il esclave de lui-même et de ses désirs? Pour répondre à cette question, il faut d'abord s'interroger sur la réalité de devenir une personne libre et rationnelle. Il est alors recommandé d'étudier la personne en tant que prisonnier, soumis au stress et aux obligations de chacun et de son entourage.

D'une part, l'homme est une vie donnée par la raison, lui donnant apparemment un état unique de liberté et de pratique. Par conséquent, l'adjectif «libre» peut être utilisé pour limiter l'homme et son action est effectuée de manière consciente et consciente, ce qui met en évidence le fait que «liberté» coexisterait, signifie «raisonnable» chez les humains. Premièrement, les personnes sont souvent définies comme les personnes responsables de leurs actions volontaires. En effet, selon le philosophe Jean-Paul Sartre, «l'existentialisme est une sorte d'humanisme». Contrairement aux objets, les humains sont une existence indéterminée. Selon l'auteur, le caractère unique de l'homme réside dans sa nature préexistante ", ce qui signifie que l'homme est libre selon ce qu'il veut et qu'il peut le faire à sa manière librement. Prendre une décision. Avec conscience, il veut aller dans n'importe quelle direction où d'autres facteurs entravent sa liberté personnelle. Ainsi, selon Sartre, il le fait «chez les autres, l'homme est maître du destin et le contrôle librement, ce qui lui permet d'être ce qu'il veut et consciemment libre. Ainsi, selon Jean-Paul Sartre, «l'homme sera libre, donnant un certain degré de responsabilité montrant qu'il est complètement coupable de son identité et de ses actes. L'avenir le met parfois dans une situation assez contradictoire. Par exemple, cet enfant choisirait librement et consciemment de ne pas poursuivre ses études et de devenir toxicomane pendant la période scolaire. Donc sa liberté tant que quelqu'un qu'il choisit librement et consciemment sur cette voie est également nuisible. L'homme né sera libre à vie, obéira consciemment aux normes sociales et finira par être arrêté et emprisonné, là où la liberté personnelle est privée. Ainsi, il se trouve dans une situation paradoxale, car la liberté inhérente qu'il possède lui permet d'être libre, et au final ces choix s'inscrivent dans le cadre d'un lieu où se trouve la liberté. Dans ce cas, on pourrait se demander, est-il toujours sans risque d'accepter le risque de devenir le genre de «libre» et d'être tenu responsable de ses actes? Par conséquent, une fois qu'une personne accepte la loi de la responsabilité raisonnable et est coupable de ses actes, elle en souffrira même si les conséquences pourraient conduire à sa perte de liberté personnelle. Par conséquent, la liberté humaine sera la capacité réelle de la raison à définir la responsabilité.

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