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L’influence de l’inné sur le développement humain

Fiche de lecture : L’influence de l’inné sur le développement humain. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  25 Février 2020  •  Fiche de lecture  •  1 885 Mots (8 Pages)  •  545 Vues

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L’influence de l’inné sur le développement humain

La question d'inné versus acquis est un des débats le plus vieux qui concerne le domaine de la psychologie. Acquis est le concept des influences environnementales qui impactent le développement et déroulement d'un individu. Par exemple, les relations sociales, la petite enfance, la culture, la religion, etc. Inné est le concept des influences génétiques héréditaires qui sont inévitables et influencent le développement et déroulement d'un individu pendant sa vie. Cependant, la question de laquelle de ses deux influences ont un plus grand impacte sur le développement d'un individu est très complexe à cause des différents facteurs et variables qui doivent être pris en considération. Il y a plusieurs études et expériences personnelles présentés qui démontre la plus grande influence du côté inné dans le développement d'une personne. Les trois aspects qui seront discutés dans ce texte argumentative seront : l'intelligence, l'obésité et l'athlétisme.

Pour commencer, la capacité intellectuelle est différente chez chaque personne et chacun a différents besoins pour prospérer intellectuellement. Cette capacité est grandement influencée par la génétique. D'abord, dans une étude qui a été fait au Royaume-Unies, les chercheurs et chercheuses ont comparé l'ADN d'environ 240000 personnes et ont retrouvé qu'il y a plus de 538 gènes qui sont associés aux habiletés intellectuelles et performance intellectuelle. Cette recherche a déterminé qu'il y a une grande influence génétique sur le Q.I. (intellectuel quotient), ce qui confirme que le Q.I d'un individu est principalement influencé par les gènes qui composent une personne. Ces gènes hérités sont uniques à une personne grâce aux parents, ce qui confirme l’influence puissante du côté inné concernant l’intelligence d’un individu. Ensuite, à cause des preuves que les facteurs génétiques ont une grande influence sur l'intellectualité d'une personne, cela explique pourquoi les frères et soeurs généralement se rassemblent tellement sur le niveau intellectuel et performance à l'école à cause du partage de l’ADN. Pour renforcer cet argument, observe les études faites sur les jumeaux et jumelles. Pendant cette expérience, le nombre de 1.0 veux dire que le Q.I. est complètement identique et un nombre de 0.0 veux dire que le Q.I. est complètement opposé. Une personne qui a été testé deux fois a eu une statistique de .95, ce qui est un nombre presque parfait. Des jumeaux identiques ont eu une statistique de .86 et des jumeaux fraternelles ont eu une statistique de .55. Les jumeaux identiques partagent l'ADN contrairement aux jumeaux fraternelles qui ne partagent pas l'ADN à ce même degré. Les jumeaux fraternelles partagent l’ADN sur le même niveau que des frères et soeurs le partagent, ce qui n’est pas autant que les jumeaux identiques. Alors, cette recherche prouve que les gènes jouent un rôle important dans les habiletés d'intelligences parce que le plus proche que l'ADN de deux personnes est, le plus de ressemblance génétique il a et le plus d'une ressemblance intellectuelle qu'il a. Puis, un exemple qui appui ce phénomène génétique chez les relatives biologiques et l’influence des gènes serait la famille Curie. Les parents d'Irene Joliot Curie, Marie Curie et Pierre Curie étaient tous les deux des récipients du Prix Nobel, un prix exclusif qui est présenté à certains individus pour leur travail exceptionnel dans différents domaines. Irene elle aussi était une concurrente pour ce prix. Cela ne peut pas être une coïncidence que ses deux parents avaient des capacités intellectuelles très élevés et elle a aussi été douée avec ces capacités. Cela est un exemple concret de comment l’intelligence est un facteur héréditaire qui est dans notre génétique parce que les habiletés intellectuelles sont hérités par les parents, tel qu’avec la famille Curie. En bref, comment l'enfant est enseigné à prendre contrôle et mettre leur intelligence en pratique peut être partiellement environnementale. Cependant, l'intelligence et la capacité intellectuelle d'une personne est un facteur plus hérité chez un individu.

Pour continuer, l'obésité est une maladie qui affecte plusieurs personnes à une échelle mondiale. Selon le « Canadian Community Health Survey » et leur sondage qui a été fait en 2014, environ 30% de la population canadienne souffre de l'obésité et un sondage fait en 2016 par le « World Health Organization » démontre qu'environ 13 % de la population mondiale souffre aussi. D’abord, plusieurs recherches trouvent le lien entre la génétique et le développement de l'obésité par d'analyses familiales, les investigations par rapport aux parents et leurs progénitures et les études des jumeaux et enfants adoptés. Par exemple, le Centre des États pour le Control des Maladies et Prévention a retrouvé que les gènes ont une influence puissante et peuvent directement causé l'obésité à travers des maladies qui causent des sentiments de faim continuellement comme avec le syndrome de Prader-Willi. En effet, des études ont aussi trouvé que le poids est un trait héréditaire d'environ 40-70 %, une statistique choquant quand c'est pris en considération que cela est presque le même niveau pour combien la taille est un trait héréditaire. Le « American Academy of Child and Adolescent Psychiatry » a retrouvé qu'un parent qui est en sous-poids a 7 % de chances d'avoir un enfant qui est en sur-poids, comparé à un parent obèse qui a une chance de 40 % d'avoir un enfant obèse et deux parents obèses qui ont une chance de 80 % d'avoir un enfant obèse. Ces recherches démontrent la probabilité à souffrir de cette maladie quand certaines caractéristiques se retrouvent dans la famille. Les personnes sous-poids ont beaucoup moins de chances d’avoir un enfant sur-poids que des personnes obèses qui porte ces gènes dans la famille. Puis, la recherche de Sorensen et al de 1989 a retrouvé que l'environnement ne joue pas un rôle dans l'obésité. Il a trouvé que l'IMC des enfants adoptés étaient directement lié au IMC de leurs parents biologiques, leurs frères et soeurs biologiques et à une étendue plus faible, leurs demi-frères et soeurs à qui ils ne partagent pas un environnement avec aucune de ces personnes. Contrairement aux idéologies populaires, cette recherche démontre comment l'influence de l'environnement ne

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